Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Rouhette, Georges (1933-2010)
Titre(s) : Contribution à l'étude critique de la notion de contrat [Texte imprimé] / Georges Rouhette ; avant-propos de Thomas Rouhette et Jean-François Riffard ; préface de Thomas Genicon et Yves-Marie Laithier
Publication : Clermont-Ferrand : Centre Michel de l'Hospital, DL 2024
Impression : impr. en Pologne
Description matérielle : 1 vol. (731 p.) ; 24 cm
Collection : Collection des Mélanges du Centre Michel de L'Hospital, ISSN 2554-1587
Lien à la collection : Collection des mélanges du Centre Michel de l'Hospital
Note(s) : Bibliogr. p. 683-705
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Droit : Université de Paris : 1965
Autre(s) auteur(s) : Rouhette, Thomas. Préfacier
Riffard, Jean-François (1968-....). Préfacier
Genicon, Thomas (1977-....). Préfacier
Laithier, Yves-Marie. Préfacier
Sujet(s) : Contrats
Indice(s) Dewey : 346.02 (23e éd.) = Actes juridiques, contrats et mandat (droit)
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-912589-61-3 (rel.) : 40 EUR
EAN 9782912589613
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47560178r
Notice n° :
FRBNF47560178
Résumé : "Près de soixante ans après sa soutenance, pourquoi faut-il lire la thèse de Georges Rouhette ?" L'incipit de la préface au présent ouvrage, rédigée par les Professeurs Genicon et Laithier, a le mérite d'aborder d'emblée la question que tout lecteur, juriste ou non, est en droit de se poser. La lecture d'une thèse intitulée Contribution à l'étude critique de la notion de contrat, soutenue certes devant un jury composé de noms aussi prestigieux que René Rodière, Pierre Raynaud et Jean Carbonnier mais en 1965, a-t-elle encore un intérêt alors que la matière a été réformée en profondeur en 2016 ? La présente publication est en soi une réponse à cette question. À l'évidence, la lecture de cette thèse, souvent citée mais rarement lue puisque difficilement accessible jusqu'à ce jour, s'impose à toute personne s'intéressant au phénomène du contrat. Car le débat suscité par le point de vue adopté par Georges Rouhette, à savoir que le contrat ne serait pas l'expression de la volonté, est loin d'être épuisé. D'un style littéraire remarquable, suivant une démonstration dont la puissance n'a d'égales que la logique et la rigueur implacable du raisonnement, s'appuyant sur des ressources bibliographiques riches et variées, la thèse de Georges Rouhette reste encore aujourd'hui une source inépuisable d'inspiration et de réflexion. Et ce pour tous les juristes civilistes voire au-delà. Car, pour reprendre l'excipit de la préface, "C'est la marque des grands, Georges Rouhette parle à chacun". Voilà pourquoi il faut la lire. [source éditeur]