Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Titre(s) : La loi agraire de 643 a.u.c., 111 avant J.-C. et l'Italie [Texte imprimé] ; suivi de La loi agraire de 643 a.u.c., 111 avant J.-C. et Corinthe / présentation, essai de restitution, lignes 1-12 et lignes 96-105, traduction et notes par Jean Peyras
Publication : Besançon : Presses universitaires de Franche-Comté, 2023
Impression : 31-Toulouse : Impr. Messages
Description matérielle : 1 vol. (78 p.) ; 22 cm
Collection : Institut des sciences et techniques de l'Antiquité
Lien à la collection : Institut des sciences et techniques de l'Antiquité
Note(s) : Texte en latin et trad. française à la suite. - Bibliogr. p. 75-78. Index
Autre(s) auteur(s) : Peyras, Jean. Éditeur scientifique
Sujet(s) : Propriété foncière -- Rome
Propriété foncière -- Corinthe (Grèce) -- Antiquité
Propriété foncière -- Droit romain
Genre ou forme : Législation
Indice(s) Dewey :
937.05 (23e éd.) = Histoire antique - Péninsule italienne - 0146-0031 av. J.-C.
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-84867-960-0 (br.) : 15 EUR
EAN 9782848679600
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb472651266
Notice n° :
FRBNF47265126
Résumé : La partie italienne de la loi agraire de 111 avant J.-C. (lignes 1-42) mit fin aux
bouleversements des réformes révolutionnaires des Gracques. L'auteur, qui avait précédemment
étudié les lignes 43-95 consacrées à l'Afrique (PUFC 2015) d'un texte qu'il identifie
comme une lex Baebia, soutient que le vectigal fut maintenu en Italie, que la privatisation
n'est pas une propriété exclusive du bénéficiaire sur les terres conquises qui constituèrent
l'ager publicus Populi Romani, que cette privatisation fut une possession soumise
à certaines obligations de mise en valeur et que la propriété éminente de la Res Publica
se maintint à travers les temps. Malgré son extrême mutilation, la fin de l'inscription
(lignes 95-105), permet d'établir que la terre de la cité de Corinthe détruite fut,
sauf la partie concédée et assignée aux Sicyoniens, mesurée, bornée, puis mise en
vente publiquement à Rome sous forme de petits lots. [source éditeur]