Notice bibliographique
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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : électronique
Auteur(s) : Ferraris-Pesci, Ugo
Titre(s) : J'étais un jeune homme étranger… [Texte électronique] / Ugo Ferraris-Pesci
Publication : St ouen : Les Éditions du Net, 2021
Description matérielle : 1 ressource dématérialisée
Taille de la ressource : 3.39 Mo
Détail : 1 fichier : EPUB
Note(s) : Métadonnées fournies par l'éditeur
Pagination restituée par l'éditeur : 170 pages
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-312-08381-0 : 4,99 EUR
EAN 9782312083810
Autre format : J'étais un jeune homme étranger... [Texte imprimé], ISBN 978-2-312-08380-3
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47290857t
Notice n° :
FRBNF47290857
(notice reprise d'un réservoir extérieur)
Résumé : En 1984, Ugo Ferraris-Pesci, mon père, alors dans sa soixante-quinzième année, entreprend
d'écrire son histoire de jeune immigré italien. Il tient à laisser le témoignage de
ce qu'ont été les vicissitudes de sa vie et les combats qu'il lui a fallu mener. Pour
survivre d'abord. Car il a traversé deux guerres mondiales, et a été très pauvre,
à l'époque où la protection sociale n'existait pas. Il a eu faim, il a eu froid, et
il a été humilié. Et puis pour parvenir à se hisser, à force de courage et de persévérance,
de sa condition d'enfant de treize ans brusquement arraché à son sol natal, à l'école,
et propulsé dans le monde du travail en pays étranger, sans aucune formation, sans
même parler français, jusqu'à son statut d'ingénieur, polyglotte et très cultivé,
tant d'arts et lettres que de sciences. Il a été aidé par quelques bonnes rencontres,
des tuteurs de résilience, comme le dit Boris Cyrulnik, mais surtout par le Conservatoire
National des Arts et Métiers, dont il a suivi avec assiduité les cours du soir pendant
les années de guerre, parfois dans les pires conditions. Son témoignage montre l'ampleur
des progrès accomplis, entre sa jeunesse et celles d'aujourd'hui, tant par le développement
des sciences et des techniques que par celui de ce qu'il est convenu d'appeler l'État-providence.
Mais il met aussi en relief tout ce qui manque encore à notre société, « restée très
inégalitaire », disait-il, pour que chacun de ses enfants, natif ou d'adoption, puisse
exprimer, comme il l'a fait lui-même, les talents dont il est porteur. [source éditeur]
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