Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Fotso Tuekam Tekapta, Youehnehtchu
Titre(s) : La police au Cameroun [Texte imprimé] : Kouhoûga, Kouhoûgang, Kouhoûguè / Youehnehtchu Fotso Tuekam Tekapta
Titre d'ensemble : Collection Kouhong ñwahahgneh Djuikom Mehdehñoh
Lien au titre d'ensemble : Appartient à : Collection Kouhong ñwahahgneh Djuikom Mehdehñoh
Publication : Paris : Menaibuc, DL 2021
Description matérielle : 1 vol. (125 p.) ; 21 cm
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-35349-323-4 (br.) : 14 EUR
EAN 9782353493234
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47130316f
Notice n° :
FRBNF47130316
Résumé : Ce livre tente à nous montrer que ce ne sont pas les occidentaux qui ont emmené le
service de police au Cameroun. Qu'avant eux, les sociétés africaine assuraient l'ordre
public par leur service de police très responsable et qu'il y avait différents corps
de ses services là relatives aux crimes, délits et contraventions et les fautes étaient
punies après une enquête profonde évitant le risque de dérapage. Et puis ensuite,
dire que la police occidentale est arrivée au Cameroun par les allemands. Les Français
les ont relayé avec la police à la française qui est restée la police camerounaise.
Ainsi que les anglais qui ont aussi amené la police à l'anglaise dans leur zone confiée
par la société des nations puis l'Organisation des Nations Unies pour les deux pays
d'Angleterre et la France. Pour indiquer les déboires et quelques moments de gloire
pour la jeune police combinée : anglaise, française et camerounaise. Que la police
ne peut être exercée sans bavure mais que les bavures ne doivent pas être intentionnelles.
Elles doivent être indépendantes de la volonté du policier en exercice de ses fonctions.
Ce qu'on regrette c'est que la corruption tente à devenir une gangrène qui va perturber
la gloire ou l'honneur de ce service de sécurité. [source éditeur]