Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : électronique
Auteur(s) : KMS
Titre(s) : Chroniques des temps perdus et bande-son pour orgasme [Texte électronique] / KMS
Publication : [Montpellier] : publie.net, 2012
Description matérielle : 1 ressource dématérialisée
Taille de la ressource : 0.92 Mo
Détail : 1 fichier : EPUB
Collection : Publie.rock
Lien à la collection : Publie.rock
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-8145-0624-4 : 4,99 EUR
EAN 3612220354176 (fichier EPUB)
EAN 9782814506244 (multiformat)
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb458290275
Notice n° :
FRBNF45829027
(notice reprise d'un réservoir extérieur)
Résumé : KMS est en France une légende du web. Pseudonyme, évidemment. Un blog qui vous secoue
l'écoute, vous emporte sur des chemins où on ne serait jamais risqué seul. Comme une
encyclopédie vivante de la musique électrique (et encore : pas seulement et il vous
dirait que la musique ne se divise pas). Mais c'est le rock qu'on explore : ses grands
morts, ses figures tragiques, ses impasses et ses dieux majeurs ou mineurs. Des
légendes, des mythes. Et ça, comment en parler sans descendre au plus profond de sa
vie même, des étés en caravane, des amours brèves, de souvenirs d'auto-stop ou de
guitare désaccordée ?Et c'est cela qui fait le bonheur de la lecture du blog Kill
Me Sarah, 10 ans d'existence.Textes "remixés, remastérisés": ici, il ne s'agit pas
d'un blog compilé. Mais de prendre cette matière à bras-le-corps, dans sa force de
langue, et ses rires, et ses fuites, et ses émotions. Alors, dans cette suite de chroniques
où on croisera Gainsbourg, Dylan (souvent), les Stones à Nellcote, comme Neil Young,
Coltrane, Tom Waits ou Supertramp, The Cure comme Leonard Cohen, c'est l'inconscient
qui surgit, ce qu'on cherche de rêve en soi-même, d'où on l'extorque et comment
dans le monde qui nous est offert, dans ce qu'on appelle la vie adulte on tâche
cependant à le préserver. C'est beau, grave, tragique, comique comme la vie juste
: un peu excessive (mais c'est ce qu'on leur demande). On rit, on pleure, ça cogne,
mais c'est bien de littérature qu'il s'agit, autant que de musique. FB [source éditeur]