Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Nichols, Peter (1950-....)
Titre(s) : Golden Globe [Texte imprimé] : une épopée solitaire autour du monde / Peter Nichols ; préface de Bernard Rubinstein ; traduit de l'anglais par Gérard Janichon
Traduction de : A voyage for madmen
Publication : Grenoble : Glénat, DL 2018
Impression : impr. en Espagne
Description matérielle : 1 vol. (380 p.) : ill. ; 23 cm
Collection : Hommes et océans
Lien à la collection : Hommes et océans (Grenoble)
Public destinataire : de 0 à 3 ans
Autre(s) auteur(s) : Rubinstein, Bernard (1946-2020). Préfacier
Janichon, Gérard (1945-....). Traducteur
Sujet(s) : Golden Globe challenge (01 ; 1968-1969)
Indice(s) Dewey :
797.14 (23e éd.) = Course de bateaux et régates
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-344-02637-3 (br.) : 22 EUR
EAN 9782344026373
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45462232r
Notice n° :
FRBNF45462232
Résumé : Le 30 juin 2018, trente marins quitteront Plymouth pour un tour du monde en solitaire
et sans escale à bord de voiliers d'un autre temps. Pas de GPS, de pilotes électriques,
d'appareils photo numériques, mais des équipements identiques à ceux embarqués en
1968 par Robin Knox Johnston, le seul à boucler l'épreuve après 313 jours de mer.
Le Golden Globe Challenge fut une aventure épique et tragique dont ce récit met en
lumière les héros invraisemblables. Hommage soit rendu à leur engagement avec la course
du 50e anniversaire !En 1968, ils sont neuf à s'élancer. C'est une première : jamais
un tel défi n'a été relevé et personne ne sait alors s'il peut être réalisé. Le journal
londonien Sunday Times, sponsor de la course, lui donne le nom de Golden Globe Challenge.Bernard
Moitessier, Loïck Fougeron, Chay Blyth, Robin Knox-Jonhston, John Ridgway, Donald
Crowhurst, Bill King, Nigel Tetley et Alex Carozzo pointent leur étrave vers l'inconnu,
avec en ligne de mire le mythique cap Horn. Plusieurs d'entre eux, à l'image du Britannique
Chay Blyth, n'ont pratiquement jamais navigué en solitaire. D'autres ont choisi des
bateaux incapables d'affronter les quarantièmes rugissants. Qu'importe ! Part qui
veut, à condition de larguer les amarres depuis la côte anglaise entre le 1er juin
et le 31 octobre. L'époque est encore au sextant, aux girouettes automatiques et aux
postes de radio lourds et encombrants que Bernard Moitessier, le favori, refuse d'embarquer.
On est bien loin de la sacro-sainte communication qui régit les courses d'aujourd'hui...Dix
mois plus tard, un seul concurrent franchira la ligne d'arrivée à Falmouth.Abandons,
naufrage, et même suicide – l'ultime salut de Donald Crowhurst – ont écrit les pages
de cette course inimaginable. En tête de la flotte, Bernard Moitessier a décidé d'abandonner
pour « sauver son âme » et poursuivre sa Longue Route jusqu'à Tahiti, ajoutant un
demi-tour du monde à celui qu'il venait de réaliser... Avec ses protagonistes insensés,
ses... [source éditeur]