Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Boursault, Edme (1638-1701)
Titre(s) : Edme Boursault spectateur de la cour et de la ville [Texte imprimé] / édition critique établie sous la direction de Marie-Ange Croft et de Françoise Gevrey ; textes annotés par Marie-Ange Croft et de Françoise Gevrey
Publication : Reims : Université de Reims Champagne-Ardenne, 2017
Impression : 14-Condé-sur-Noireau : Impr. Corlet
Description matérielle : 1 vol. (527 p.) ; 21 cm
Collection : Héritages critiques, ISSN 2257-4719 ; 7
Lien à la collection : Héritages critiques
Note(s) : Réunit : "La comédie sans titre" ; "Lettres nouvelles". - Bibliogr. p. 503-507. Index
Autre(s) auteur(s) : Croft, Marie-Ange. Directeur de publication
Gevrey, Françoise (1945-....). Directeur de publication
Autre(s) forme(s) du titre :
- Titre de couverture : Écrire l'actualité, Edme Boursault spectateur de la cour et
de la ville
Indice(s) Dewey :
848.4 (23e éd.) = Écrits divers de langue française - 1600-1715 [oeuvre]
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-37496-046-3 (br.) : 25 EUR
EAN 9782374960463
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45416616j
Notice n° :
FRBNF45416616
Résumé : Si l'histoire littéraire a fait peu de place à Edme Boursault (1638-1701) en le réduisant
au rôle d'adversaire de Molière ou de Boileau dans des polémiques, il n'en fut pas
toujours ainsi sous l'Ancien Régime. Polygraphe pratiquant le théâtre, la lettre,
le roman, la fable, le journalisme, Boursault sut s'adapter à l'esprit de son temps
et innover en bien des domaines en abolissant les frontières des genres. Son influence
fut durable au cours du XVIIIe siècle qui le cite souvent. Le présent ouvrage rassemble,
pour la première fois dans une édition critique, La Comédie sans titre, qui fut un
succès de représentation jusqu'à la Révolution et qui peut passer pour la première
grande comédie à prendre pour sujet le journalisme naissant, et les Lettres nouvelles,
un recueil que l'auteur composa à la fin de sa vie en reprenant parfois des écrits
plus anciens pour offrir au public une image de lui-même tout en le divertissant.
Car au-delà des destinataires affichés, qui parfois le rémunéraient, son intention
est bien de toucher un public plus large en le faisant spectateur de la cour et de
la ville au moment où le règne de Louis XIV s'assombrit et où la comédie se veut moralisante
face à la corruption des mœurs. [source éditeur]