Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Valadon, Eveleen (1938?-....)
Titre(s) : Mes pensées sont des papillons [Texte imprimé] / Eveleen Valadon ; avec Jacqueline Remy ; postface du Dr Lisette Volpe-Gillot
Publication : Paris : Kero, DL 2017
Impression : 72-La Flèche : Impr. CPI Brodard et Taupin
Description matérielle : 1 vol. (195 p.) ; 22 cm
Autre(s) auteur(s) : Remy, Jacqueline. Collaborateur
Volpe-Gillot, Lisette. Postfacier
Sujet(s) : Maladie d'Alzheimer -- France -- 1990-2020
Genre ou forme : Récits personnels
Indice(s) Dewey : 362.196 83110092 (23e éd.) = Maladie d'Alzheimer (problèmes et services sociaux) - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-36658-381-6 (br.) : 16,50 EUR
EAN 9782366583816
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45350895f
Notice n° :
FRBNF45350895
Résumé : « Cette maladie est quelque chose d'impalpable. Une pensée qu'on oublie, ça ne se raconte pas, ça ne se rattrape pas, comme les papillons ! Il n'y a pas de symptômes physiques. Cela ne se voit pas. C'est comme un déraillement, mais on en est conscient. On se voit flotter. On est soi et on est une autre. Cela ressemble à un dédoublement de personnalité.Et cet autre, il faut le rencontrer, l'apprivoiser. C'est un enfant adopté. Tantôt, on l'accepte, tantôt on ne l'accepte pas. J'essaie de bien le recevoir, de ne pas me mettre trop en colère. Mais c'est un grand bouleversement. »Eveleen Valadon a été diagnostiquée malade d'Alzheimer voici quatre ans. Elle se souvient très bien du passé, mais sa mémoire immédiate lui fait parfois défaut. Aidée deux heures par jour, elle vit encore seule et autonome. Ce livre raconte son combat contre une pathologie qu'elle se refuse à nommer. Elle a voulu nous dire, en son nom et en celui de tous les autres, qu'elle n'est ni démente ni agressive, et tordre le cou aux stéréotypes dont cette maladie est porteuse. Eveleen lutte pour retrouver la femme qu'elle n'a pas cessé d'être. Ce livre est son défi, pour montrer à cet ennemi de l'intérieur qu'elle ne va pas se laisser effacer. [source éditeur]