Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Black, Jack (1871-1932)
Titre(s) : Personne ne gagne [Texte imprimé] : mémoires / Jack Black ; traduit de l'anglais (États-Unis) par Jeanne Toulouse et Nicolas Vidalenc ; préface de Thomas Vinau ; postface de William S. Burroughs
Traduction de : You can't win
Publication : [Bègles] : Monsieur Toussaint Louverture, DL 2017
Impression : impr. en Espagne
Description matérielle : 1 vol. (470 p.) ; 19 cm
Collection : Les grands animaux
Lien à la collection : "Les Grands animaux"
Autre(s) auteur(s) : Toulouse, Jeanne (1975-....). Traducteur
Vidalenc, Nicolas. Traducteur
Vinau, Thomas (1978-....). Préfacier
Autre(s) forme(s) du titre :
Titre d'une autre édition : Rien à faire : souvenirs d'un cambrioleur américain
Titre d'une autre édition : Yegg : autoportrait d'un honorable hors-la-loi
Sujet(s) : Black, Jack (1871-1932)
Crime organisé -- États-Unis -- 20e siècle
Genre ou forme : Récits personnels
Biographie
Indice(s) Dewey :
364.106 0973 (23e éd.) = Crime organisé - États-Unis
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 979-10-90724-32-7 (br.) : 11,50 EUR
EAN 9791090724327
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45339033f
Notice n° :
FRBNF45339033
Résumé : Né en 1871, Thomas Callaghan, alias « Jack Black », a grandi aux États-Unis, dans
le Missouri. Orphelin de mère, délaissé par son père, il mène la vie d'errance des
« hobos » dans l'ouest américain à l'aube du XXe siècle, et devient un « yegg », un
perceur de coffres de haute volée. Condamné à 25 ans de pénitencier, il s'y impose
comme un « parrain » du trafic d'opium. Après sa libération, sa rencontre avec Fremont
Older, journaliste progressiste qui l'emploie comme garde du corps, marque le début
de sa réinsertion. Il rédigera une série d'articles basés sur son expérience des bas-fond.
Après la publication de personne ne gagne en 1926, Black, scénariste pour la MGM,
conférencier et militant anti-peine de mort, disparaît en 1932, peut-être suicidé
dans le port de New York, peut-être assassiné d'une balle dans la gorge, ne laissant
derrière lui qu'une montre retrouvée chez un prêteur sur gage... De San Francisco
au Canada, de trains de marchandises en fumeries d'opium, d'arnaques en perçages de
coffres, du désespoir à l'euphorie, Jack Black est un voleur : parfois derrière les
barreaux, toujours en cavale. Avec Ironie, sagesse et compassion, il nous entraîne
sur la route au tournant du XXe siècle. Personne ne gagne est un hymne à une existence
affranchie des conventions. Qu'il soit hors-la-loi, opiomane ou source d'inspiration
pour Kerouac et Burroughs, qu'importe, qu'il vole au devant de la déchéance ou qu'il
flambe comme un roi, qu'importe, Jack Black n'est guidé que : par son amour de la
liberté. C'est dur, c'est brut, c'est profondément américain. Black est peut-être
un vaurien, il est surtout un conteur qui, sans jugement, joue avec son passé afin
de nous remuer et de nous remettre sur le droit chemin. [source éditeur]