Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Gkanás, Michálīs (1944-....). Auteur du texte
Titre(s) : Marâtre patrie [Texte imprimé] / Mihàlis Ganas ; traduit du grec par Michel Volkovitch
Traduction de : Mītriá patrída
Publication : [Montpellier] : Éditions Publie.net, DL 2017
Impression : 78-Maurepas : Impr. Lightning source France
Description matérielle : 1 vol. (70 p.) : ill. ; 21 cm
Collection : Collection Grèce, ISSN 2431-1022
Lien à la collection : Collection Grèce
Autre(s) auteur(s) : Volkovitch, Michel (1947-....). Traducteur
Sujet(s) : Grèce -- 1944-1949 (Guerre civile)
Genre ou forme : Récits personnels grecs
Indice(s) Dewey :
949.507 4092 (23e éd.) = Histoire - Grèce - 1935-1967 - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-37177-477-3 (br.) : 13 EUR
EAN 9782371774773
Voir aussi : Publication alternative dans un autre support/format : Marâtre patrie [Texte électronique],
ISBN 978-2-37177-163-5
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45227713w
Notice n° :
FRBNF45227713
Résumé : Lorsque la guerre civile qui déchire son pays l'oblige à partir pour l'exil en 1948,
Mihàlis Ganas a quatre ans. Et dix ans à son retour, en 1954. Et trente-six en 1980
quand il raconte cette enfance bouleversée, qui l'a marqué à jamais, dans Marâtre
patrie. Nous le suivons en Albanie, puis en Hongrie, puis dans le village perdu d'Épire
où il vivra jusqu'à l'âge d'homme. La mauvaise mère, ce n'est pas la Hongrie plutôt
accueillante, mais la mère patrie, la Grèce des années 50, qui inflige à ses enfants
la misère économique et la répression politique. Pour décrire ces années terribles,
dire le désordre de la mémoire avec ses souvenirs fulgurants et fragmentaires, dire
surtout la fureur du monde qu'un enfant découvre et ne comprend pas, Ganas — qui par
ailleurs est l'un des plus grands poètes grecs de son temps — invente une langue inouïe,
rugueuse et raffinée, proche de celle des paysans de son enfance et en même temps
de celle des poètes. Voilà pourquoi, dans Marâtre patrie, qu'on a pu qualifier de
« récit-poème », on prend la réalité en pleine figure. Michel Volkovitch [source éditeur]