Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Paoli, Dominique (1941-2021)
Titre(s) : Madame Adélaïde [Texte imprimé] : soeur et égérie de Louis-Philippe / Dominique Paoli
Publication : Paris : Perrin, DL 2016
Impression : impr. en Allemagne
Description matérielle : 1 vol. (349 p.) ; 21 cm
Note(s) : Bibliogr. p. 327-332. Index
Sujet(s) : Adelaïde d'Orléans (1777-1847)
Genre ou forme : Biographie
Indice(s) Dewey :
944.060 92 (23e éd.) = Histoire - France - 1815-1848 - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-262-03269-2 (br.) : 23 EUR
EAN 9782262032692
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb450474223
Notice n° :
FRBNF45047422
Résumé : Fille de Philippe Egalité et de Louise-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, la princesse
Adélaïde d'Orléans apparaît aujourd'hui comme l'un des grands esprits politiques de
son temps. Née en 1777 dans les ors du Palais-Royal, élevée dans les idées nouvelles
par Mme de Genlis, elle voit à douze ans sa destinée bouleversée par la Révolution.
Jetée sur les routes de l'exil pendant un quart de siècle, elle doit affronter l'opprobre
des émigrés, qui ne lui pardonnent pas d'être la fille du régicide, et fuir constamment,
de couvent en couvent, devant l'avancée des armées françaises. Confrontée à une mère
" éternelle pleureuse ", qui voulait régenter sa vie, elle sut s'en dégager et trouver
l'âme sœur en son frère Louis-Philippe. Réunis en 1808, le duc d'Orléans et sa sœur
ne se quitteront plus et formeront avec Marie-Amélie de Bourbon-Siciles, duchesse
d'Orléans, un trio inséparable. Le rôle de la princesse dans l'acceptation du trône
en 1830 par Louis-Philippe sera primordial. Son journal intime et son étroite correspondance
avec son frère révèlent une tête politique et une conseillère privilégiée, mais aussi
une femme que sa piété et sa force de caractère ont aidée à dominer sa grande sensibilité.
Fondé sur des archives inédites, ce livre met en scène l'existence à certains égards
tragique de celle que Talleyrand qualifiait d'" être supérieur ". [source éditeur]