Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Jugnon, Alain (1959-....)
Titre(s) : Pourquoi je lis "Rigodon" de Louis-Ferdinand Céline [Texte imprimé] : "Rigodon", les preuves de l'existence de l'homme / Alain Jugnon
Publication : [Lyon] : le Feu sacré, DL 2015
Impression : 81-Graulhet : Impr. Escourbiac
Description matérielle : 1 vol. (88 p.) ; 13 cm
Collection : Les feux follets ; 1
Lien à la collection : Les Feux follets
Sujet(s) : Céline, Louis-Ferdinand (1894-1961). Rigodon
Indice(s) Dewey : 843.91 (23e éd.) = Roman de langue française - 1900-1999 [critique]
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-9541294-3-3 (br.) : 7,50 EUR
EAN 9782954129433
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb44483784w
Notice n° :
FRBNF44483784
Résumé : Autant lire Céline dans le texte est chose aisée, autant lire Rigodon est impossible si l'on n'est pas en train de devenir célinien soi-même. Or devenir célinien ne se peut que si l'on lit Céline dans l'ordre de l'écriture et de la vie des hommes de 1914 à 1945, d'une guerre l'autre. Lire Céline revient à pouvoir une littérature qui sache être nietzschéenne en 1914 (les guerres du 20ème siècle), heideggérienne en 1945 (la mort de Dieu) et proustienne en 1960 (le temps retrouvé à la fin de la modernité). C'est ici et maintenant : Nietzsche, Heidegger et Proust sont dans le même train que Céline et Lucette, en direction du Nord, la terre froide du poème. Alain Jugnon est un écrivain qui philosophe et enseigne. Il dirige les Cahiers Artaud aux Editions Les Cahiers. Il vient de publier ‘Derrida l'écriture hors bord' chez Lemieux Éditeur. Il se voit comme un nietzschéen de gauche critique. [source éditeur]