Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Prebble, Stuart (1951-....)
Titre(s) : Le maître des insectes [Texte imprimé] : roman / Stuart Prebble ; traduit de l'anglais par Caroline Bouet
Traduction de : The insect farm
Publication : [Paris] : Denoël, DL 2015
Impression : impr. en Italie
Description matérielle : 1 vol. (349 p.) ; 23 cm
Collection : Suspense
Lien à la collection : Suspense (Paris)
Autre(s) auteur(s) : Bouet, Caroline. Traducteur
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-207-12394-2 (br.) : 20,50 EUR
EAN 9782207123942
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb44294164q
Notice n° :
FRBNF44294164
Résumé : Londres, années 60. Jonathan et Roger Maguire sont deux frères très unis malgré leurs
différences. Le plus jeune, Jonathan, protège farouchement son aîné, Roger, garçon
simple d esprit, obsédé par un étrange élevage d insectes auquel il consacre tout
son temps libre. Un hobby exigeant pour ce garçon à qui les gestes de la vie quotidienne
les plus banals demandent un immense effort de concentration. Et pourtant, contre
toute attente, Roger maîtrise absolument et sans la moindre difficulté cet univers
et les milliers de créatures qui y vivent. Il leur fournit de la terre et de la nourriture
et règne en maître sur leur vie et leur mort. Ce statut presque divin sur ce monde
étrange et complexe semble lui procurer des accès de lucidité qui impressionnent son
entourage. Roger, qui a l âge mental d un garçon de huit ans, n est peut-être pas
aussi limité qu on le croit, et Jonathan commence à avoir des doutes sur les capacités
réelles de son frère. Les années passent& Après une violente dispute avec Harriet,
son épouse, qu il soupçonne de le tromper, Jonathan perd connaissance. Lorsqu il se
réveille, il a du sang sur les mains et le cadavre d Harriet gît sur le sol de la
cuisine. De toute évidence, il l a assassinée& Mais devant l attitude bizarre de Roger,
qui assure être prêt à tout pour le bien de son frère, Jonathan se prend à douter.
Et si les apparences étaient trompeuses& [source éditeur]