Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Ventôse, Tatiana (1988-....)
Titre(s) : Il est venu le temps des producteurs [Texte imprimé] / Tatiana Ventôse
Publication : Paris : le Fil d'actu, DL 2024
Impression : impr. en Bulgarie
Description matérielle : 1 vol. (346 p.) ; 21 cm
Sujet(s) : Autosuffisance -- France -- 1970-....
Économie de marché -- France -- 1970-....
Délocalisations (économie politique) -- France -- 1970-....
Indice(s) Dewey : 338.609 44 (23e éd.) = Organisation de la production - France
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-487560-00-0 (br.) : 22 EUR
EAN 9782487560000
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb475193622
Notice n° :
FRBNF47519362
Résumé : Artisans, ouvriers, paysans : ce livre est pour vous, car c'est désormais de vous que dépend le destin de la France. En 50 ans, la France a fait l'objet d'un pillage à grande échelle. La financiarisation et la mondialisation de l'économie ont détruit nos capacités de production. Aujourd'hui, notre pays est faible, dépendant, incapable de répondre aux besoins les plus fondamentaux de sa population. Ce n'est pas le fruit du hasard : nos dirigeants l'ont voulu. Pour pouvoir piller la France impunément, ils ont relégué les véritables producteurs de richesse dans les territoires "périphériques", loin des centres de décision et d'influence, et les ont soumis à des pressions croissantes, tant fiscales que matérielles et morales. Ils les ont effacés des représentations, leur ont pris jusqu'à leur pouvoir de décision démocratique, et tenté de les assimiler à un passé révolu. Mais les grands mouvements dont l'Histoire a le secret font que s'éveille aujourd'hui, lentement mais sûrement, la conscience de ceux que la classe dirigeante a voulu écraser et rendre étrangers en leur propre pays. Ce livre raconte la véritable histoire du pillage français, mais surtout l'inexorable ascension de la classe des producteurs, qui ont désormais un rôle fondamental à jouer : prendre le contrôle de la société, pour leur propre salut... et celui de la France. [source éditeur]