Notice bibliographique
- Notice
Au format public
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Danflous, Séverine (1978-....)
Marest, Pierre-Julien (1980-....)
Titre(s) : Busby Berkeley, l'homme qui fixait des vertiges [Texte imprimé] / Séverine Danflous, Pierre-Julien Marest ; préface d'Alain Masson
Édition : 2e éd.
Publication : Paris : Marest éditeur, impr. 2024
Impression : impr. en Pologne
Description matérielle : 1 vol. (480 p.) : ill. ; 21 cm
Note(s) : Bibliogr. p. 451-456. Filmogr. p. 457-471. Index. - La page de titre porte par erreur : MMXXIX
Sujet(s) : Berkeley, Busby (1895-1976)
Indice(s) Dewey : 791.430 233092 (23e éd.) = Cinéma - Réalisation - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 979-10-96535-64-4 (br.) : 27 EUR
EAN 9791096535644
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47451727c
Notice n° :
FRBNF47451727
Résumé : Deuxième édition. Busby Berkeley, cinéaste hollywoodien auquel on doit des numéros musicaux démentiels, génie obsédé par la forme, les figures kaléidoscopiques filmées en plans zénithaux et les guirlandes de filles, est un pionnier dans bien des domaines. Celui qui n'hésitait pas à crever les plafonds des studios pour donner corps à ses visions vertigineuses a sans nul doute révolutionné le cinéma hollywoodien, et ce dernier n'a de cesse de lui rendre hommage, de Spielberg aux frères Coen. Tout commence à Broadway avec le légendaire créateur des Follies, Florenz Ziegfeld, qui lui trace une voie royale pour Hollywood où il débute chez Sam Goldwyn, avant de sauver du marasme la Warner, en relançant la comédie musicale avec des classiques comme 42nd Street et Gold Diggers of 1933, derniers soubresauts érotiques d'un pays qui se corsète bientôt dans la censure avec l'application du code Hays. Cet ouvrage vous fait pénétrer dans les coulisses de la comédie musicale, du Broadway des années 1920 à l'Hollywood des années 1930, à la rencontre des myriades de figurantes qui peuplaient les films de Berkeley comme des vedettes Judy Garland, Carole Landis, Ginger Rogers, Ruby Keeler, ou Esther Williams. Toutes celles et ceux qui, à l'instar de Gene Kelly et Stanley Donen, rappellent que Berkeley leur a tout appris. [source éditeur]