Notice bibliographique
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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Henríquez Ruz, Felipe
Titre(s) : Freud et la question "qu'est-ce que la vie ?" [Texte imprimé] : incidences clandestines du vitalisme dans l'épistémologie freudienne / Felipe Henríquez Ruz ; préface de Thomas Lepoutre et Bernard Pachoud
Publication : Paris : l'Harmattan, impr. 2024
Impression : 14-Condé-sur-Noireau : Impr. Corlet numérique
Description matérielle : 1 vol. (246 p.) ; 24 cm
Collection : Études psychanalytiques
Lien à la collection : Études psychanalytiques (Paris)
Note(s) : Bibliogr. p. 227-234. Index
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Recherches en psychanalyse et psychopathologie
: Paris Cité : 2022
Sujet(s) : Freud, Sigmund (1856-1939) -- Critique et interprétation
Vitalisme
Indice(s) Dewey :
150.195 01 (23e éd.) = Systèmes psychanalytiques - Philosophie et théorie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-336-43502-2 (br.) : 26 EUR
EAN 9782336435022
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47434925j
Notice n° :
FRBNF47434925
Résumé : Depuis plusieurs années, les débats sur la formation intellectuelle de Freud et sur
les sources d'inspiration de son épistémologie semblent être « clos ». Les biographies
intellectuelles (Wittels, Bernfeld, Jones) et les ouvrages sur les fondements historiques
de la psychanalyse (Dorer, Assoun) ont contribué à forger une image plutôt monolithique
de Freud comme un « matérialiste mécaniste » dans ses origines, ainsi qu'une représentation
de la psychanalyse comme une « science de la nature ». À contre-courant, cet ouvrage
essaie de rouvrir ces débats et de montrer, partout dans l'œuvre de Freud, l'influence
clandestine du vitalisme, doctrine opposée au mécanisme qui a su mettre paradoxalement
la mort au sein de l'entendement du vivant.En replaçant la question « Qu'est-ce que
la vie ? » au cœur de l'épistémologie freudienne, l'auteur fait ainsi apparaître l'image
controversée de Freud comme un « philosophe de la biologie » et une représentation
de la vie, chez lui, comme une polarité essentielle entre la création et la destruction.
[source éditeur]