Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Boyle, T. Coraghessan (1948-....)
Titre(s) : Un ciel si bleu [Texte imprimé] : roman / T. Coraghessan Boyle ; traduit de l'anglais (États-Unis) par Bernard Turle
Traduction de : Blue skies
Publication : Paris : Bernard Grasset, DL 2024
Impression : 53-Mayenne : Impr. Floch
Description matérielle : 1 vol. (518 p.) ; 21 cm
Collection : En lettres d'ancre
Lien à la collection : En lettres d'ancre
Autre(s) auteur(s) : Turle, Bernard (1955-....). Traducteur
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-246-83515-8 (br.) : 25 EUR
EAN 9782246835158
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47419430j
Notice n° :
FRBNF47419430
Résumé : Cat vient de s'installer en Floride avec son fiancé dans une magnifique maison sur
la plage. Pourtant, elle s'ennuie. Un jour, sur un coup de tête, elle achète un des
serpents les plus dangereux au monde, un python birman. De l'autre côté du pays, en
Californie, c'est un tout autre achat qu'effectue sa mère Ottilie : de plus en plus
sensible à son empreinte écologique, elle franchit un pas supplémentaire vers l'autonomie
alimentaire et le recyclage des déchets en se dotant d'un réacteur à criquets. Son
fils, Cooper, biologiste spécialisé dans les insectes, n'est pas étranger à ce choix.
Mais alors que celui-ci accompagne sa petite amie à la recherche de tiques, il se
fait piquer.Ces choix spontanés et petits incidents vont entraîner une chaîne d'événements
dévastatrice qui, depuis le microcosme de la cellule familiale, va s'insérer dans
un contexte général de crise climatique. Aucun membre de la famille n'en sortira indemne.
Car en Californie comme en Floride, on ne vit plus, on tente de survivre. Quand on
ne meurt pas de chaud, c'est l'ensemble des insectes de la planète qui sont retrouvés
morts. Les alligators rodent dans les rues inondées, le vent attise les flammes qui
menacent d'engloutir les habitations au milieu de la nuit – à moins que ce ne soit
l'océan qui finisse par les avaler.Avec cette fresque environnementale pré-apocalyptique
doublée de comédie noire, T.C. Boyle fait montre de toute sa maîtrise – et sa férocité
– pour raconter l'accélération des catastrophes écologiques et intimes qui en découlent.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Bernard Turle [source éditeur]