Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Lesfargues, Bernard (1924-2018)
Titre(s) : Zo sabiatz pas ? [Texte imprimé] : rubriques occitanes publiées dans le journal "Sud-Ouest", 1987-1990 / Bernard A. Lesfargues ; traductions et introduction de Gilles Arfi, Jean-Francis Billion, Françoise Dudognon... [et al.]
Publication : Périgueux : Novelum ; Lyon : Presse fédéraliste, DL 2023
Impression : 24-Périgueux : Imprimerie moderne
Description matérielle : 1 vol. (302 p.) : ill. ; 24 cm
Collection : Minorités nationales
Lien à la collection : Collection Minorités nationales
Note(s) : Rubriques en occitan précédées de la trad. française
Autre(s) forme(s) du titre :
- Titre(s) parallèle(s) : Vous ne le saviez pas ?
Indice(s) Dewey :
849.854 (23e éd.) = Écrits divers de langue occitane - 1945-1999 [oeuvre]
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-917451-48-9 (br.) : 20 EUR
EAN 9782917451489
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47415670c
Notice n° :
FRBNF47415670
Résumé : Après le décès de Bernard Lesfargues (poète, enseignant, traducteur, éditeur et militant
politique), sa famille a découvert une centaine de textes publiés dans Sud-Ouest (1987-1990)
; en prose, majoritairement écrits en occitan et introduits par une annonce : « Nouvelles
occitanes. Chaque semaine, désormais, une rubrique occitane : pour parler de la vie
locale, échanger des idées, des informations, des nouvelles. Et pour le plaisir de
retrouver la langue ». L'auteur, dont la vie explique la variété des sujets abordés
(art et littérature, gastronomie, extrémisme religieux, frontières ou langues minoritaires),
commentait l'actualité en occitan pour prouver que cette langue peut être utilisée
aussi bien pour parler de sujets locaux qu'internationaux... Michèle et Bruno Lesfargues
souhaitant une édition bilingue, quatre ami.es de Bernard se sont partagé la traduction,
privilégiant une langue proche de son occitan : familière quand elle l'est, plus littéraire
quand elle est plus littéraire et dans un français le plus « français » possible car,
comme il le disait : « Toutes les langues se valent et doivent être respectées ».
[source éditeur]