Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Rebeillard, Laurent (1954-....)
Titre(s) : Histoire de la Sainte Face de Jésus-Christ [Texte imprimé] / Laurent Rebeillard
Publication : [Saint-Germain-d'Esteuil] : Éditions de la Sainte Face, DL 2023
Impression : 59-Linselles : Impr. Sobook
Description matérielle : 1 vol. (143 p.) : ill. en coul. ; 22 cm
Note(s) : Bibliogr. p. 142-143
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-38429-160-1 (br.) : 17 EUR
EAN 9782384291601
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47353685k
Notice n° :
FRBNF47353685
Résumé : La dévotion à la Sainte Face date du vivant même du Christ : Jésus adressa au roi
Abgar d'Édesse une Image de son Visage sur un voile, le Mandylion. À Édesse, saint
Jude-Thaddée, qui vint guérir le roi Abgar de la part du Christ, quelques années après
son Ascension, amena avec lui ce linceul porteur de l'image sanglante de sa Passion
que l'on vénère aujourd'hui à Turin. En raison de leur présence simultanée à Édesse
dès le premier siècle, le Linceul et le Mandylion ont été confondus, alors qu'il s'agit
de deux reliques bien distinctes. Sur le chemin qui le menait au Calvaire, ployant
sous le poids de sa croix, accablé d'outrages, Notre-Seigneur rencontra Véronique
qui, prise de pitié, voulut essuyer son visage et le rafraîchir : sur le suaire qu'elle
utilisa fut imprimé miraculeusement une image de la Sainte Face souffrante du Christ
qui fut amenée à Rome dès le premier siècle, et conservée par les Papes. Cette image
divine fut régulièrement exposée à la vénération des foules jusqu'au milieu du XIXe
siècle, puis elle s'effaça, laissant la place à la Sainte Face du Linceul, qui, lors
de la première photographie qui en fut faite en 1898, apparut sur le négatif avec
une netteté et une intensité surnaturelles. Elle reste l'image de référence de la
Sainte Face du Christ. Il existe enfin une quatrième image acheiropoïète de la Sainte
Face, visible sur un voile de byssus conservé dans l'église de Manopello depuis 1638,
correspondant au « soudarion » dont parle saint Jean dans son Évangile, qui le distinguait
bien des autres linges funéraires. Il s'agit en fait du « suaire » qui recouvrait,
sous le linceul qui l'enveloppait, la Sainte Face du Christ dans le Sépulcre, et qui
a recueilli le premier instant de sa Résurrection. Sur ces reliques, les visions de
Catherine Emmerich nous apportent des précisions de grande valeur qui permettent de
comprendre leur origine et leur histoire : ce travail s'en est donc largement inspiré.
[source éditeur]