Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation
Auteur(s) : Manara, Milo (1945-....)
Titre(s) : Le Nom de la Rose [Texte imprimé]. Livre premier / Milo Manara ; Umberto Eco ; couleurs : Simona Manara
Publication : Grenoble : Glénat, 2023
Description matérielle : 1 vol. (72 p.) : ill. ; 32 cm
Autre(s) auteur(s) : Eco, Umberto (1932-2016). Auteur adapté
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-344-04975-4 (rel.) : 17,50 EUR
EAN 9782344049754
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb473394821
Notice n° :
FRBNF47339482
Résumé : Quand le maître italien du Neuvième art revisite le chef-d'œuvre d'Umberto Eco.En
l'an 1327, dans une abbaye bénédictine du nord de l'Italie, plusieurs moines sont
retrouvés morts. Pour mettre un terme à ces inquiétantes disparitions avant l'arrivée
d'une importante délégation de l'Église, le frère Guillaume de Baskerville tente de
lever le voile sur ce mystère qui attise toutes les superstitions. Assisté par son
jeune secrétaire Adso de Melk, il va progressivement percer à jour les troubles secrets
de la congrégation, et se heurter à la ferme interdiction d'approcher la bibliothèque
de l'édifice. Pourtant, Baskerville en est persuadé, quelque chose se trame entre
ses murs. Et bientôt, à la demande du pape, l'inquisiteur Bernardo Gui se rend à son
tour au monastère et s'immisce dans l'enquête. Les morts s'accumulent et la foi n'est
d'aucun secours…Événement ! Milo Manara s'attelle à l'adaptation en deux tomes du
chef d'œuvre d'Umberto Eco, vendu à plusieurs millions d'exemplaires et traduit en
43 langues. Après Jean-Jacques Annaud au cinéma (1986), c'est un nouvel artiste de
prestige qui s'empare du célébrissime polar médiéval. À la demande des héritiers Eco,
Manara a eu carte blanche pour donner sa vision de l'œuvre, et a pour cela choisi
un triple parti pris graphique très audacieux. Son adaptation s'ouvre en effet sur
Umberto Eco lui-même s'adressant au lecteur, dessiné dans un noir et blanc classique.
Puis commence l'intrigue médiévale elle-même, et là Manara renoue avec le noir et
blanc au lavis, rehaussé d'effets de matières et de modelés qu'il a déjà utilisé pour
Le Caravage. Enfin, chacun sait que les livres tiennent un rôle fondamental dans l'intrigue,
et Manara s'amuse donc de temps à autre à recréer des enluminures d'époque, réalisées
à la manière des moines copistes du Moyen Âge. L'ensemble est mis en couleurs par
la propre fille de Manara sous la supervision de son père, là aussi selon la même
méthode qui a présidé à la réalisation du Caravage. [source éditeur]