Notice bibliographique

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Auteur(s) : Forster, Edward Morgan (1879-1970)  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : Howards End [Texte imprimé] : le legs de Mrs. Wilcox / E. M. Forster ; traduction de l'anglais par Charles Mauron ; édition présentée et annotée par Catherine Lanone

Publication : [Paris] : Le Bruit du temps, DL 2022

Description matérielle : 1 vol. (498 p.) : ill., couv. ill. ; 18 cm

Collection : Poche



Autre(s) auteur(s) : Mauron, Charles (1899-1966). Traducteur  Voir les notices liées en tant qu'auteur
Lanone, Catherine. Éditeur scientifique  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Genre ou forme : Littérature anglaise  Voir les notices liées en tant que genre ou forme
Roman  Voir les notices liées en tant que genre ou forme


Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-35873-178-2 (br) : 11 EUR.
EAN 9782358731782

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb472657156

Notice n° :  FRBNF47265715


Résumé : Publié en 1910, sous le titre anglais d'Howards End, Le legs de Mrs. Wilcox est le quatrième roman de Forster. Situé dans l'Angleterre du tout début du xxe siècle, qui est encore celle de l'Empire britannique et déjà celle des débuts de l'automobile, le roman, à travers l'histoire des deux sœurs Margaret et Hélène Schlegel, fait se rencontrer, non sans heurts, trois familles qui représentent trois catégories sociales de l'Angleterre. Les sœurs Schlegel, filles d'un émigré allemand, représentent une grande bourgeoisie « cosmopolite », cultivée et « libérale » au sens anglais du terme, c'est-à-dire « de gauche », préoccupée par la question sociale et les droits des femmes ; les membres de la famille Wilcox, rencontrée au cours d'un voyage en Allemagne, sont, quant à eux, des industriels, parfaits représentants de l'Empire et du « libéralisme » britannique ; tandis que Leonard Bast, mal marié à la peu recommandable et pitoyable Jackie, est un petit employé londonien qui aspire à la culture sans en avoir les moyens. Avec plus de maestria encore que dans les romans précédents, Forster parvient merveilleusement à allier la comédie (et même la satire) sociale à son désir de poser dans le roman, à travers ses personnages, la question de la réalité, qui ne s'atteint que dans l'accomplissement intégral de soi. Virginia Woolf écrit à ce propos : « À nouveau, mais sur un terrain de bataille plus vaste, se poursuit le combat que l'on trouve dans tous les romans de Forster — le combat entre les choses qui importent et celles qui n'ont pas d'importance, entre la réalité et les faux-semblants, entre la vérité et le mensonge. » Le livre fut un immense succès public dès sa parution. [source éditeur]


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support : livre