Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Byron, George Gordon (1788-1824)
Titre(s) : Don Juan [Texte imprimé] / Lord Byron ; traduit de l'anglais par Benjamin Laroche
Traduction de : Don Juan
Publication : Paris : Hugo poche, DL 2023
Impression : impr. en Espagne
Description matérielle : 1 vol. (885 p.) ; 18 cm
Collection : Hugo poche. Classique
Lien à la collection : Hugo poche. Classique
Hugo poche
Note(s) : Numérotation dans la collection principale : 567
Autre(s) auteur(s) : Laroche, Benjamin (1797-1852). Traducteur
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-7556-6399-0 (br.) : 9,90 EUR
EAN 9782755663990
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47265164r
Notice n° :
FRBNF47265164
Résumé : Considérée par Lord Byron lui-même comme son œuvre maîtresseet la plus personnelle,
interrompue par la mort de l'auteur, Don Juan raconte en dix-sept chants, sur un ton
facétieux et volontairement provocateur, les péripéties d'un Espagnol, voyageant à
la fin du XVIIIe siècle de l'Espagne à l'Angleterre, en passant par la Grèce et la
Russie. Le Don Juan de Byron à l'opposé du mythe du séducteur, est un jeune candide,
jouet des événements comme des femmes.Œuvre de la maturité, pied de nez au Romantisme,
que Byronavait lui-même contribué à installer, abandonné pour le sarcasme, qui renoue
avec l'esprit subversif de son cher XVIIIe siècle, ce long poème inachevé en dix-sept
chants, au style flamboyant etmagnifique, est le chef-d'œuvre incontesté de Lord Byron.
Fidèle à son go du scandale, prenant à contre-pied le mythe dulibertin cynique immortalisé
par Tirso de Molina, Molière et Mozart, Byron fait de son héros un pantin manipulé
par les femmes et leursdésirs dévorants et voué aux caprices de l'improvisation de
l'auteur.Une oeuvre novatrice, satirique et ironique, dans laquelle il sepropose de
dénoncer l'oppression sous toutes ses formes. « On connaîtra un jour Don Juan pour
ce que j'ai voulu qu'il soit:une satire des abus de la société dans ses états actuels
— et non une apologie du vice. » Lord Byron [source éditeur]