Notice bibliographique
- Notice
Notice en attente de catalogage
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Meyer, Jean-Arcady
Titre(s) : Le fabuleux destin de la Bibliothèque d'Alexandrie [Texte imprimé]
Publication : Saint-Ouen : Les Editions du Net, 2022
Description matérielle : 1 vol. (521 p.) ; 23 cm
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-312-12890-0 (br.) : 33 EUR
EAN 9782312128900
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47202106m
Notice n° :
FRBNF47202106
Résumé : Le projet de réunir à Alexandrie tous les livres du monde n'avait pas pour seul objectif
de contribuer à la gloire des Ptolémées, il visait aussi à attirer dans cette ville
des érudits capables d'exploiter ces livres pour en produire d'autres et faire ainsi
avancer la littérature et la science de leur temps. Ce texte évoque cette aventure
intellectuelle, l'une des plus exaltantes que l'humanité ait vécue et qui s'est déroulée
pendant sept siècles. Il rappelle comment Alexandrie fut fondée et bâtie par des hommes
de talent et aux grandes ambitions, au point de devenir pour un temps la plus belle
ville du monde antique. Il rappelle aussi comment la folie d'autres hommes a engendré
l'incroyable série de guerres, de révoltes populaires, d'intrigues de palais, d'assassinats
et de débauches qui ont provoqué l'inexorable déclin de la ville et de sa Bibliothèque.
Un travail considérable a pu néanmoins être accompli au sein de cette dernière, depuis
la gestion de catalogues recensant les 500 000 rouleaux de papyrus qu'elle pourrait
avoir hébergés, jusqu'à l'étude critique de leur contenu. Il est montré ici comment
la disponibilité de ces rouleaux a rendu possible la production de quelques pièces
remarquables de la littérature ou de la philosophie alexandrines, l'accroissement
considérable des connaissances historiques et géographiques de l'époque, ainsi que
des contributions exceptionnelles à l'histoire des mathématiques, de l'astronomie,
de la mécanique et de la médecine. Ce livre se conclut par une évocation du sort de
la Bibliothèque d'Alexandrie et de celui des manuscrits en général rappelant - s'il
en était besoin à l'époque que nous traversons - que « nous autres, civilisations,
nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». [source éditeur]