Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation
Titre(s) : L'écran de nos pensées [Texte imprimé] : Stanley Cavell, la philosophie et le cinéma / sous la direction de Élise Domenach
Publication : Lyon : ENS éditions, 2021
Impression : 67-Wasselonne : Printot&Ixo
Description matérielle : 1 vol. (296 p.) : ill. en coul. ; 24 cm
Collection : Collection Tohu bohu, ISSN 1965-8338
Lien à la collection : Collection Tohu bohu
Note(s) : Bibliogr. p. 271-278. Index. - ENS = École normale supérieure
Autre(s) auteur(s) : Domenach, Élise (1976-....). Directeur de publication
Sujet(s) : Cavell, Stanley (1926-2018) -- Critique et interprétation
Philosophie et cinéma
Indice(s) Dewey :
791.430 1 (23e éd.) = Cinéma - Philosophie, théorie, esthétique
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 979-10-362-0413-5 (br.) : 24 EUR
EAN 9791036204135
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb46920437q
Notice n° :
FRBNF46920437
Résumé : Grande voix de la philosophie américaine du vingtième siècle, Stanley Cavell (1926-2018),
héritier de Wittgenstein, s'est attaché sa vie durant à élargir le champ de la philosophie
aux arts au service d'une philosophie du « langage ordinaire ». Jeune philosophe,
nommé professeur à Harvard, il explora dans un séminaire d'esthétique, vingt ans avant
Deleuze, le lien entre philosophie et cinéma. De Frank Capra à George Cukor, Terrence
Malick, Arnaud Desplechin ou les frères Dardenne, un fil court, celui des lectures
philosophiques de Stanley Cavell et des films qu'elles ont inspirés. Peu d'œuvres
philosophiques ont autant marqué la création cinématographique et le champ des études
cinématographiques que celle du philosophe de Harvard. De son chef-d'œuvre de 1971,
La projection du monde, à ses derniers écrits sur le mélodrame, l'autobiographie et
la critique, en passant par son livre sur la comédie hollywoodienne des années 1940,
cet ouvrage éclaire l'ensemble de sa pensée. Il donne aussi la parole à trois cinéastes
qui l'ont connu et qui ont été inspirés par ses écrits : Luc Dardenne, Arnaud Desplechin
et Claire Simon. Il se penche, enfin, sur le lien que Cavell a entretenu avec Terrence
Malick à Harvard dans les années 1960, jetant les bases d'une pensée du cinéma qui
prend son départ dans notre expérience aussi bien collective qu'intime des films.
Cette expérience qui nous unit ou nous rapproche des autres. Et qui nous permet aussi,
plongeant en nous-mêmes, de nous éduquer. [source éditeur]