Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Delon, Francis (1956-....)
Titre(s) : Histoire de la Grande loge nationale, indépendante et régulière pour la France et les colonies françaises, 1899-1940 [Texte imprimé] / Francis Delon
Publication : Marseille : les Éditions de la Tarente, DL 2021
Impression : impr. en Bulgarie
Description matérielle : 1 vol. (543 p.) ; 24 cm
Collection : Fragments maçonniques
Lien à la collection : Fragments maçonniques
Comprend : Tome I, De l'anglo-saxon Lodge n° 343 à la renaissance d'une maçonnerie traditionnelle,
1899-1918 ; Tome II, L'affirmation d'une maçonnerie anglophone, 1918-1940
Note(s) : Tome I & II en un vol. Tome I préfacé par Pascal Berjot et postfacé par Roger Dachez.
Tome II préfacé par Jean-Pierre Rollet et postfacé par Georges Lemoine. - Bibliogr.
p. 523-539. Index
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Études anglophones : Bordeaux 3 : 2018
Sujet(s) : Franc-maçonnerie -- Influence britannique -- 1900-1945
Grande loge nationale française -- 1900-1945
Indice(s) Dewey :
366.109 440904 (23e éd.) = Franc-maçonnerie - France - 1900-1999
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-916280-52-3 (br.) : 47 EUR
EAN 9782916280523
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb46898574d
Notice n° :
FRBNF46898574
Résumé : Dans le tome I Francis Delon s'appuie essentiellement sur des sources inédites, et
retrace l'histoire qui a conduit à la création de la Grande Loge Nationale Indépendante
et Régulière pour la France et les Colonies Françaises (l'actuelle Grande Loge Nationale
Française) et au rétablissement de la régularité maçonnique selon la maçonnerie anglo-saxonne.
Il retrace ainsi les tentatives de créer, au sein d'une maçonnerie française quelque
peu anticléricale et progressiste, des loges apolitiques et symboliques, d'abord à
la Grande Loge de France en 1899 avec l'atelier anglophone Anglo-Saxon n° 343, puis,
à partir de 1910, au Grand Orient de France avec le réveil du Régime Écossais Rectifié
grâce à l'appui du Grand Prieuré d'Helvétie qui en était l'unique dépositaire. Les
difficultés rencontrées par ce rite, en raison de son message « évangélique », et
l'hostilité des dirigeants de l'obédience conduisirent alors Le Centre des Amis, à
l'automne 1913, à s'ériger en une Grande Loge souveraine. Celle-ci fut aussitôt reconnue
par la Grande Loge Unie d'Angleterre qui souhaitait le rétablissement d'une franc-maçonnerie
régulière en France. Affaiblie par des divisions internes et la mobilisation d'une
majorité de ses membres lors de la première guerre mondiale, elle échappa à une disparition
prévisible en accueillant les loges militaires constituées par des francs-maçons anglophones
servant dans les régiments de l'Empire britannique. Le tome II met d'abord l'accent
sur l'échec du projet initial de grande loge francophone traditionnelle en raison
de la marginalisation progressive des francs-maçons du Rite Rectifié consécutive :
au désaveu du Grand Prieuré Indépendant d'Helvétie ; au départ de loges ; à l'impossibilité
de rallier les courants spiritualistes de Memphis-Misraïm et du martinisme. L'incompréhension
voire l'hostilité des membres britanniques les empêcha également de créer un second
atelier rectifié parisien ainsi que d'accueillir Camille Savoire et son Grand Prieuré
de [source éditeur]