Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Bertrand, Henri Gatien (1773-1844)
Titre(s) : Cahiers de Sainte-Hélène [Texte imprimé] : les 500 derniers jours, 1820-1821 / Henri Gatien Bertrand ; texte établi, présenté et commenté par François Houdecek ; introduction de Thierry Lentz
Publication : Paris : Perrin : Fondation Napoléon, DL 2021
Description matérielle : 1 vol. (LXV-364 p.) ; 25 cm
Collection : La bibliothèque de Sainte-Hélène ; 4
Lien à la collection : La Bibliothèque de Sainte-Hélène
Note(s) : Index
Autre(s) auteur(s) : Houdecek, François. Éditeur scientifique
Lentz, Thierry (1959-....). Préfacier
Sujet(s) : Napoléon Ier (1769-1821 ; empereur des Français) -- Captivité -- Sainte-Hélène
Genre ou forme : Récits personnels
Indice(s) Dewey :
944.060 92 (23e éd.) = Histoire - France - 1815-1848 - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-262-07685-6 (br.) : 25 EUR
EAN 9782262076856
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb46812996q
Notice n° :
FRBNF46812996
Résumé : Le meilleur témoignage sur la fin de Napoléon Présent à Sainte-Hélène du début à la
fin de la captivité, Henry-Gatien Bertrand a laissé un témoignage majeur notant au
jour le jour les propos de son maître, les tensions avec Hudson Lowe et la vie tumultueuse
de la petite communauté française. La présente édition publie les deux dernières années
des Cahiers dont, pour la première fois, l'année 1820 demeurée entièrement inédite
et sur laquelle il n'existe aucun autre témoignage d'envergure alors qu'elle est charnière.
Scribe du triste quotidien, le Grand-Maréchal raconte la transformation graduelle,
jour par jour, heure par heure de Napoléon se métamorphosant en malade, puis en mourant.
Tel un greffier, il consigne dans son Journal la lente agonie de son Empereur et maître
qu'il sert avec une loyauté qui force l'admiration tant le dernier Napoléon est difficile.
Le 5 mai 1821 à 17h49, il est le premier à embrasser la main morte de celui qui avait
gouverné sa vie pendant 20 ans. Liés dans l'exil, les deux hommes le sont dans la
mort et pour l'éternité puisque Bertrand a rejoint Napoléon aux Invalides en 1847.
Un document capital dans l'édition de référence qui faisait défaut. [source éditeur]