Notice bibliographique

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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation

Auteur(s) : Bedrossian, Melkon (1906-1990)  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : 60 ans après, l'émotion m'étrangle encore [Texte imprimé] : 1905-1918, récit de déportation de Sarelar à Aïntoura / Melkon Bedrossian ; [traduit de l'arménien occidental par Chant Marjanian]

Publication : Paris : Maisonneuve & Larose nouvelles éditions-Hémisphères éditions, DL 2021

Impression : 52-Langres : la Manufacture impr.

Description matérielle : 1 vol. (71 p.-XI p. de pl.) : ill. en coul. ; 21 cm

Note(s) : Glossaire


Autre(s) forme(s) du titre : 
- Forme développée du titre : Soixante ans après, l'émotion m'étrangle encore


Sujet(s) : Survivants du génocide arménien  Voir les notices liées en tant que sujet
Génocide arménien (1915-1923)  Voir les notices liées en tant que sujet

Genre ou forme : Récits personnels  Voir les notices liées en tant que genre ou forme

Indice(s) Dewey :  956.620 154092 (23e éd.) = Histoire - Turquie - Nord-Est - 1774-1918 - Biographie  Voir les notices liées en tant que sujet


Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-37701-095-0 (br.) : 10 EUR
EAN 9782377010950

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb46744022m

Notice n° :  FRBNF46744022


Résumé : La publication des mémoires de Melkon Bedrossian (1906-1990), rédigées soixante ans après les faits, apporte une pierre de plus à l'édifice mémoriel érigé en monde arménien depuis des décennies. Un manuscrit enfoui de plus qui a quitté la poussière d'un grenier pour apporter sa lumière à la quête d'un groupe blessé qui n'a jamais renoncé à son exigence de vérité. Si ces mémoires sont un élément central de l'identité de la famille Bédrossian, elles n'en documentent pas moins un pan de l'histoire du génocide.  Ces souvenirs d'enfance nous font pénétrer une fois de plus dans l'enfer jeune-turc, et tout particulièrement dans cette usine à turciser des enfants arméniens que fut l'orphelinat d'Aïntoura, créé par Ahmed Djémal ; Melkon Bedrossian y fut interné après sa déportation en 1915. Écrits dans un style direct, avec beaucoup de pudeur, ce texte nous plonge dans ces violences de masse que les plus solides, comme Melkon, subissent avec une seule et unique ambition : survivre. [source éditeur]


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