Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : O'Brien, Edna (1930?-2024)
Titre(s) : James & Nora [Texte imprimé] : portrait de Joyce en couple / Edna O'Brien ; traduit de l'anglais (Irlande) par Aude de Saint-Loup et Pierre-Emmanuel Dauzat ; suivi d'une postface de Pierre-Emmanuel Dauzat, Le yiddish de Joyce
Traduction de : James & Nora : a portrait of a marriage
Publication : Paris : Sabine Wespieser éditeur, 2021
Impression : 80-Abbeville : Impr. F. Paillart
Description matérielle : 1 vol. (92 p.) ; 19 cm
Autre(s) auteur(s) : Saint-Loup, Aude de. Traducteur
Dauzat, Pierre-Emmanuel (1958-....). Traducteur
Autre(s) forme(s) du titre :
- Forme développée du titre : James et Nora : portrait de Joyce en couple
Sujet(s) : Joyce, James (1882-1941) -- Mariage
Joyce, Nora (1884-1951) -- Mariage
Indice(s) Dewey :
823.912 (23e éd.) = Roman de langue anglaise - 1900-1945 [critique]
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-84805-395-0 (br.) : 13 EUR
EAN 9782848053950
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb467048340
Notice n° :
FRBNF46704834
Résumé : PORTRAIT DE JOYCE EN COUPLE suivi d'une postface de Pierre-Emmanuel Dauzat, intitulée
LE YIDDISH DE JOYCE (Balbutiements sur une traduction) Edna O'Brien n'a jamais caché
que James Joyce lui avait ouvert les portes de la littérature. Vibrant hommage à un
« mec funnominal » – mot emprunté à Joyce – et à son stupéfiant corps-à-corps avec
la langue, James & Nora retrace la vie de l'artiste en couple, depuis sa rencontre
à Dublin en juin 1904 avec une belle fille de la campagne originaire de Galway, Nora
Barnacle, jusqu'à sa mort, en 1941. Leur fuite en Italie, la naissance de leurs enfants,
leur misère matérielle, leur flamboyante vie sexuelle, et aussi leurs deux solitudes,
Edna O'Brien les concentre en autant de fulgurants instantanés. Dans une passionnante
postface, Pierre-Emmanuel Dauzat, son traducteur, éclaire sa proximité avec l'écriture
réputée si complexe de James Joyce. Le « yiddish de Joyce », ce creuset de langues
– dix-sept – qu'il écrivait toutes en anglais, serait « plus familier à Edna O'Brien
qu'à d'autres lecteurs européens pour une raison évidente : elle connaît la prononciation
de l'anglais dans les différentes régions de l'Irlande […] et pratique aussi, comme
une seconde langue maternelle (pourquoi n'y en aurait-il qu'une ?), l'anglais irlandais.
» De fait, ce volume si bref se déploie telle une étoffe précieuse miroitant en d'infinis
reflets, dont chacun est une nouvelle invitation à la lecture. [source éditeur]