Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Appien (0095?-0160)
Titre conventionnel : [Histoire romaine (français). Extrait. 2020]
Titre(s) : Les guerres civiles à Rome. Livre V [Texte imprimé] / Appien ; traduction [du grec], introduction et notes de Philippe Torrens
Lien au titre d'ensemble : Appartient à : Les guerres civiles à Rome
Publication : Paris : les Belles lettres, 2020
Impression : 52-Langres : Impr. la Manufacture
Description matérielle : 1 vol. (314 p.) : ill. ; 21 cm
Collection : La roue à livres, ISSN 1150-4129 ; 91e
Lien à la collection : La Roue à livres (Paris)
Note(s) : Bibliogr. p. 265-280. Index
Autre(s) auteur(s) : Torrens, Philippe (1948-....). Éditeur scientifique
Indice(s) Dewey :
937.05 (23e éd.) = Histoire antique - Péninsule italienne - 0146-0031 av. J.-C.
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-251-45115-2 (br.) : 29 EUR
EAN 9782251451152
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb466876757
Notice n° :
FRBNF46687675
Résumé : Les triumvirs l'ont emporté sur les républicains à Philippes, mais les guerres civiles
ont encore cinq belles années devant elles. Désormais, Antoine et Octavien doivent
tenir les promesses faites aux soldats : Antoine se charge de l'argent en pressurant
les provinces d'Orient ; pour les terres en Italie, Octavien exproprie leurs occupants,
et tout le pays entre en ébullition. Lucius, consul, et aussi frère d'Antoine, tente
alors de rétablir la République, mais l'entreprise se termine vite par sa défaite
à Pérouse. Une autre menace vient de Sextus Pompée qui contrôle toujours la Sicile
et le trafic maritime : Rome est affamée. Quand Antoine, soucieux, quitte les bras
de Cléopâtre pour retrouver l'Italie, ses officiers et ceux d'Octavien ont bien du
mal à enrayer la guerre qui commence entre eux… Ainsi s'ouvre le cinquième livre des
Guerres civiles, livre des rebondissements, où discordes, réconciliations, défections,
accords vite transgressés, émeutes, tempêtes et mutineries ponctuent la période confuse
où la République achève sa longue agonie. Appien arrête son récit à la mort de Sextus
Pompée, considérant qu'avec lui la République, elle aussi, est bien morte ; l'historien
réserve pour son Livre égyptien (qui ne nous est pas parvenu) la lutte finale entre
Antoine et Octavien, une histoire d'une autre nature, celle de l'affrontement entre
deux prétendants à la monarchie. [source éditeur]