Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Musique notée : sans médiation
Auteur(s) : Flies, Bernhard (1770?-18..). Compositeur
Titre conventionnel : [Wiegenlied]. Arr. pour choeur à 3 voix mixtes et piano
Titre(s) : Wiegenlied [Musique imprimée] / paroles allemandes, Friedrich Wilhelm Gotter ; musique de Bernhard Flies ; attribuée par erreur à W. A. Mozart ; adaptation française et arrangement pour 3 voix mixtes [et piano ad libitum], Pierre Calmelet
Présentation : [Partition]
Publication : Lyon : Éditions À coeur joie, [2020]
Impression : 69-Lyon : Impr. Éditions À coeur joie
Description matérielle : 1 partition (12 p.) ; 30 cm
Collection : Série Classique
Lien à la collection : Série Classique
Distribution musicale : choeurs - non spécifié (1), clavier - piano (1)
Autre(s) auteur(s) : Calmelet, Pierre. Harmonisateur. Adaptateur
Genre ou forme : Choeurs profanes (voix mixtes, 3 voix) a cappella -- Arrangements (musique) -- Partitions
Choeurs profanes (voix mixtes, 3 voix) acc. de piano -- Arrangements (musique) -- Partitions
Identifiants, prix et caractéristiques : (Br.) : 6,15 EUR
Cotage A111401095
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb465975750
Notice n° :
FRBNF46597575
Cette notice appartient à l'univers musique
Résumé : Le mystère de la berceuse « de Mozart » Bernhard Flies, né à Berlin en 1770, était Médecin et compositeur amateur. En 1796, il composa une berceuse (Wiegenlied) : Schlafe, mein Prinzchen, schlaf ein. Celle-ci fut publiée en 1799, mais sous le nom de Mozart, vraisemblablement parce que celui-ci était plus vendeur que celui d'un petit médecin… En 1803, elle fut finalement publiée sous le nom de son auteur, Bernhard Flies, mais le doute subsista et traversa les siècles. Ainsi, de nos jours encore, la plupart des musiciens s'extasient devant le génie du grand Mozart alors qu'ils sont sans le savoir en train d'interpréter l'œuvre d'un modeste musicien amateur ! Wiegenlied de Brahms La première strophe de ce célèbre Lied est tirée du recueil Des Knaben Wunderhorn (Le Cor merveilleux de l'enfant, publié en 1808). Recueillies de la bouche du peuple ou dans de vieux manuscrits, ces trésors de poésies populaires accumulées au cours des siècles enthousiasmèrent de nombreux poètes (Goethe, Eichendorff, Heine…) et furent une source d'inspiration pour des musiciens romantiques tels que Weber, Schubert, Schumann, Mahler, R. Strauss et, bien sûr, Brahms dans cette célèbre berceuse. La seconde strophe fut écrite par Georg Scherer en 1849. Berceuse « Schlaf, Kindlein, schlaf » Schlaf, Kindlein, schlaf est une berceuse très ancienne dont l'origine reste mystérieuse : on pense que la mélodie a été composée en 1781 par Johann Friedrich Reichardt d'après un chant populaire suisse. Il existe de nombreuses versions du texte : la plus ancienne remonte à 1611, mais la plus connue se trouve dans le recueil Des Knaben Wunderhorn (voir ci-dessus). [source éditeur]