Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Titre(s) : Stendhal et Winckelmann [Texte imprimé] / textes réunis et présentés par Catherine Mariette et Chantal Massol
Publication : Grenoble : UGA éditions, Université Grenoble Alpes, 2017
Impression : 37-Monts : Impr. Présence graphique
Description matérielle : 1 vol. (187 p.) : ill. ; 22 cm
Collection : Bibliothèque stendhalienne et romantique, ISSN 1294-0658
Lien à la collection : Bibliothèque stendhalienne et romantique
Note(s) : Publ. à la suite du colloque international "Stendhal et Winckelmann" organisé à Grenoble
les 14-15 mai 2013. - Bibliogr. p. 175-180
Autre(s) auteur(s) : Mariette, Catherine (1958-....). Directeur de publication
Sujet(s) : Stendhal (1783-1842) -- Art
Winckelmann, Johann Joachim (1717-1768) -- Influence
Genre ou forme : Actes de congrès
Indice(s) Dewey :
843.7 (23e éd.) = Roman de langue française - 1815-1848 [critique]
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-37747-016-7 (br.) : 19,50 EUR
EAN 9782377470167
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb454127385
Notice n° :
FRBNF45412738
Résumé : Cet ouvrage collectif examine les liens qui unissent Stendhal, malgré ses dénégations,
à J. J. Winckelmann. Il s'efforce de dégager les principaux aspects de la réception,
par l'écrivain français, de celui que l'on tient pour le fondateur de l'histoire de
l'art. Les contributions s'interrogent d'abord sur les modalités de leur rencontre
(influences, transfert culturel, médiations, parallèles…), sur les fondements de leurs
projets respectifs et sur les formes du dialogue que le cadet instaure avec son aîné.
Elles s'emploient ensuite, en tentant de démêler les propos souvent contradictoires
que l'auteur de l'Histoire de la peinture en Italie tient à l'égard du savant allemand,
à mettre au jour les thèmes de ce dialogue (expression, idéalisation, imagination,
énergie, style, imitation, liberté, cristallisation, douceur, sublime, idéal, sensualité,
grâce…). Le dialogue, pour finir, s'ouvre à un troisième interlocuteur : Nietzsche,
qui puise dans la pensée stendhalienne, en la dépassant, les éléments d'un débat contre
un winckelmannisme classique et « apollinien ». [source éditeur]