Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation
Auteur(s) : Redé, Alexis von Rosenberg (1922-2004 ; baron de)
Titre(s) : Baron de Redé [Texte imprimé] : souvenirs et portraits / propos recueillis par Hugo Vickers ; traduction, préface et notes de David Gaillardon
Traduction de : Alexis : the memoirs of the Baron de Redé
Publication : Paris : Lacurne, DL 2017
Impression : impr. en Italie
Description matérielle : 1 vol. (525 p.) : ill. ; 21 cm
Collection : En d'autres temps
Lien à la collection : En d'autres temps (Paris)
Note(s) : Bibliogr. p. 513-520. Index
Autre(s) auteur(s) : Vickers, Hugo (1951-....). Éditeur scientifique
Gaillardon, David (1968-....). Traducteur
Sujet(s) : Redé, Alexis von Rosenberg (1922-2004 ; baron de)
Genre ou forme : Autobiographie
Indice(s) Dewey :
944.361 081092 (23e éd.) = Histoire - France - Paris - 1870-1945 - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-35603-020-7 (rel.) : 65 EUR
EAN 9782356030207
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45404568t
Notice n° :
FRBNF45404568
Résumé : Figure emblématique du Tout-Paris de l'après-guerre, le baron de Redé (1922-2004)
a marqué les grandes heures de la Café Society. De New York à Saint-Moritz, de la
Riviera à Venise, sur les yachts et les champs de courses, il a laissé le souvenir
d'un gentleman élégant et raffiné. Né à Zurich, d'une famille de banquiers autrichiens,
Alexis de Redé fut un acteur majeur de cette société cosmopolite aux côtés d'Arturo
Lopez, de Charles de Beistegui ou de Paul-Louis Weiller. Esthète et dandy, mais aussi
financier avisé, le baron de Redé fut également le mécène de nombreux artistes, décorateurs
ou artisans, parmi lesquels Christian Bérard, Cecil Beaton, Emilio Terry, Georges
Geffroy, etc. Au fil de ces souvenirs, il évoque les femmes les plus brillantes de
son entourage, arbitres incontournables des salons parisiens, les célèbres Marie-Laure
de Noailles, Marie-Blanche de Polignac, Marie-Louise Bousquet ou lady Diana Cooper.
Mais l'aventure de sa vie, partagée avec sa grande amie Marie-Hélène de Rothschild,
fut l'hôtel Lambert. Le plus bel hôtel parisien, joyau de l'île Saint-Louis, retrouva
son lustre et sa grandeur grâce à sa ténacité et celle des Rothschild. Alexis de Redé
se mobilisa sans compter pour sauver ce trésor de l'architecture du XVIIe siècle,
pour en restaurer la décoration intérieure et pour le meubler dans l'esprit de l'époque.
Ayant renoué avec les fastes d'antan, l'hôtel Lambert fut l'écrin de dîners raffinés
et de bals somptueux qui marquèrent à jamais l'art de recevoir au XXe siècle. À la
suite des soirées du comte Étienne de Beaumont et du célèbre bal Beistegui à Venise
(1951), Redé donna le bal des Têtes (1957) et l'extraordinaire bal Oriental (1969),
immortalisés par Yves Saint Laurent et Alexandre Serebriakoff. Témoin privilégié de
cette société internationale disparue, le baron de Redé fait revivre une pléiade de
personnages de légende, tels que Jean Cocteau, Hélène Rochas, le marquis de Cuevas,
les Windsor, Christian Dior, Barbara-Hutton, le p [source éditeur]