Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation
Auteur(s) : Centre culturel international (Cerisy-la-Salle, Manche). Colloque (01 ; 2015-08-14
/ 2015-08-21)
Titre(s) : Périples & parages [Texte imprimé] : l'oeuvre de Frédéric Jacques Temple / Colloque de Cerisy, [14-21 août 2015] ; sous la direction de Marie-Paule Berranger, Pierre-Marie Héron et Claude Leroy
Publication : Paris : Hermann, DL 2016
Impression : 01-Péronnas : Impr. SEPEC
Description matérielle : 1 vol. (497 p.) : ill. en coul. ; 24 cm
Collection : Colloque de Cerisy : littérature
Lien à la collection : Colloque de Cerisy
Note(s) : Bibliogr. p. 469-476. Index
Autre(s) auteur(s) : Berranger, Marie-Paule. Directeur de publication
Héron, Pierre-Marie (1967-....). Directeur de publication
Leroy, Claude (1942-....). Directeur de publication
Sujet(s) : Temple, Frédéric Jacques (1921-2020) -- Critique et interprétation
Genre ou forme : Actes de congrès
Indice(s) Dewey :
848.914 (23e éd.) = Écrits divers de langue française - 1945-1999 [critique]
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-7056-9279-7 (br.) : 41 EUR
EAN 9782705692797
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb452293498
Notice n° :
FRBNF45229349
Résumé : « En mer, je ne suis nulle part, sauf dans le monde entier. Au gré de la navigation,
surgit la grande et banale question : “Qui suis-je ?” Et je réponds : “Quel est ce
qui, sinon un autre, qui chaque matin, loin de recommencer, commence ?” » Que la vie
demande à être considérée comme une traversée en mer, de périples en parages, Frédéric
Jacques Temple en porte témoignage dans Une longue vague porteuse. Comme ce récit,
toute son œuvre s'inscrit dans la lignée immémoriale de l'homo viator pour lequel
la vie est un voyage avec son lot d'apprentissages et de révélations, ses étapes et
ses tournants, ses instants décisifs et, parfois, la merveille d'une rencontre capitale.
Poète est celui qui relève le défi des grands navigateurs pour se lancer à son tour
dans une aventure où la découverte de l'autre ne se sépare plus de la volonté, chaque
matin, de s'éprouver soi-même. L'amour des départs est alors, indissolublement, cosa
mentale. Faire voyage de tout aura sans doute été le plus secret désir du poète de
La Chasse infinie. [source éditeur]