Notice bibliographique

  • Notice
vignette simple

Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation

Auteur(s) : Rochman, Leyb (1918-1978)  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : Journal 1943-1944 [Texte imprimé] / Leïb Rochman ; traduit du yiddish par Isabelle Rozenbaumas ; préface de Maya Dover Daffan ; traduite de l'hébreu par Claire Darmon

Traduction de : Un in dayn blut zolstu lebn

Publication : Paris : Calmann-Lévy, DL 2017

Impression : 18-Saint-Amand-Montrond : Impr. CPI Bussière

Description matérielle : 1 vol. (528 p.) ; 23 cm

Collection : Mémorial de la Shoah, ISSN 1772-5860

Lien à la collection : Mémorial de la Shoah 



Autre(s) auteur(s) : Rozenbaumas, Isabelle. Traducteur  Voir les notices liées en tant qu'auteur
Dover Daffan, Maya. Préfacier  Voir les notices liées en tant qu'auteur
Darmon, Claire. Traducteur  Voir les notices liées en tant qu'auteur


Sujet(s) : Guerre mondiale (1939-1945) -- Juifs -- Pologne  Voir les notices liées en tant que sujet

Genre ou forme : Récits personnels juifs  Voir les notices liées en tant que genre ou forme

Indice(s) Dewey :  940.530 89924 (23e éd.) = Guerre mondiale, 1939-1945 - Étude en relation avec les Juifs  Voir les notices liées en tant que sujet


Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-7021-5464-9 (br.) : 27 EUR
EAN 9782702154649

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb452116598

Notice n° :  FRBNF45211659


Résumé :     Leïb Rochman écrit son Journal entre 1943 et 1944 au moment où il vit caché derrière une double cloison chez une paysanne polonaise puis dans une fosse creusée dans une étable avec d'autres compagnons polonais, allemands, russes ou ukrainiens. Il ne livre jamais sa localisation exacte, il cite toujours, avec une extrême prudence, un village ou un lieu-dit à une certaine distance.    Ils passent des jours entiers, en rang d'oignons, les visages tournés vers le mur sans possibilité de s'asseoir. Avec talent, Leïb Rochman réussit à faire entendre le monde extérieur, l'écho des animaux, les détonations des tueries, les conversations de leur hôte avec les villageois. Le texte frappe par la force de leurs relations, de l'amour qui les lie entre eux et avec le peuple juif, et qui leur permet de survivre.    Leib Rochman nous fait entendre une voix folle de douleur mais il raconte aussi qu'en dépit de tout, lui et ses compagnons continuent d'observer l'essentiel des lois du judaïsme. Il nous livre ici une conception du monde pétrie de Torah (Pentateuque et plus largement Premier Testament) qui se déploie au fil des pages.    Jusque dans son approche des animaux domestiques, des souris et des mulots, des déflagrations et du tonnerre des combats et, bien sûr, des eaux qui les submergent dans leur dernière cachette, l'empreinte divine, le caractère cataclysmique et annonciateur d'une ère nouvelle – ou de la fin du monde – sont omniprésents.    Leur foi constitue l'un des aspects les plus poignants de ce témoignage. Ils ne cessent d'être portés par leur aspiration à construire une vie nouvelle comme à se reconstruire en tant qu'êtres humains, libres, dans un lieu où les Juifs seraient enfin les maîtres de leur destin. Un État juif, précise Rochman en Eretz-Israël. Là même où il s'éteindra en 1978.  [source éditeur]


Localiser ce document(1 Exemplaire)

Tolbiac - Rez-de-jardin - magasin

1 partie d'exemplaire regroupée