Notice bibliographique

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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation

Auteur(s) : Sméralda, Juliette  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : La culture de l'entraide [Texte imprimé] : un modèle d'économie alternative, le cas de la Martinique / Juliette Sméralda

Publication : Saint-Denis : Connaissances et savoirs, DL 2016

Impression : 27-Mesnil-sur-l'Estrée : Impr. CPI

Description matérielle : 1 vol. (323 p.) : ill. ; 20 cm

Note(s) : En appendice, choix de documents. - Bibliogr. p. 307-320


Sujet(s) : Paysannerie -- Martinique -- Histoire  Voir les notices liées en tant que sujet
Agriculture -- Martinique -- Histoire  Voir les notices liées en tant que sujet
Solidarité -- Martinique -- Histoire  Voir les notices liées en tant que sujet

Indice(s) Dewey :  305.963 094409 (23e éd.) = Travailleurs agricoles (sociologie) - France - Histoire  Voir les notices liées en tant que sujet


Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-7539-0348-7 (br.) : 23 EUR
EAN 9782753903487

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb45131143r

Notice n° :  FRBNF45131143


Résumé : Qu'est-ce qui explique la longévité de la pratique de l'entraide (koudmen) dans la société martiniquaise, comme partout ailleurs dans les Amériques ? Cette tradition, qui se décline dans de nombreuses sphères – agriculture, habitat, voies de communication, préparation des aliments, etc. –, ne répond pas qu'à des nécessités conscientes. Elles mettent en jeu des croyances religieuses qui dépassent les simples émotions personnelles et la simple socialité. Elle est en effet articulée à la pratique du don et du contre-don structurée par des obligations d'ordre à la fois spirituel, moral et symbolique (prestige et pouvoir), mais également économiques... Si l'entraide est évoquée en termes de système, de culture et de civilisation dans le texte, c'est bien parce que l'observation ethnographique permet de répertorier les traits caractéristiques de cette tradition présente dans toutes les sociétés du « nouveau monde ». Celle-ci recouvre une dimension à la fois culturale et culturelle, qui la démarque nettement du mode de fonctionnement de la plantation par la finalité de l'activité qu'elle génère, à travers l'exercice privilégié du coup de main (koudmen), du sousou (esusu en yoruba), du crédit sans intérêt, du travail collectif, de la mutualisation des efforts polymorphes, en vue d'assurer la survie du groupe humain qui la pratique... [source éditeur]


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