Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Michalak, Alain
Titre(s) : La Polonaise [Texte imprimé] : cette immigrée qui a évité un second Oradour / Alain Michalak
Publication : Saint-Quentin : Éditions de Moÿ, impr. 2016
Impression : impr. aux USA
Description matérielle : 1 vol. (249 p.) ; 23 cm
Note(s) : Bibliogr. p. 244-249
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-9556575-0-8 (br.) : 19,97 EUR
EAN 9782955657508
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb450615977
Notice n° :
FRBNF45061597
Résumé : 10 juin 1944 : les nazis font 642 victimes à Oradour-sur-Glane. Mais voici un fait
méconnu : ce même jour, à la même heure, à quelques kimomètres de là, une seconde
commune aurait dû rejoindre Oradour dans l'horreur. Épaulé par 7 miliciens, le lieutenant
Kleist de la Gestapo de Limoges dirige une centaine de SS. Son ordre ? Fusiller les
150 ouvriers de la papèterie de Saillat au prétexte que 75 sont des résistants. Pourtant,
ces SS dressés à obtempérer et à tuer, repartent vers 19h00 sans avoir exécuté leur
mission. Pourquoi ont-ils désobéi ? Comment « La Polonaise » a-t-elle convaincu Kleist
de l'absence de résistants dans le village ? Ils sont pourtant très nombreux. Si cette
journée dramatique est le cœur de ce livre, il est indispensable de la replacer dans
son contexte historique. C'est pourquoi l'auteur retrace le long périple de ses ancêtres
depuis leur naissance dans une Pologne occupée, jusqu'à Saillat, en traversant trois
guerres. Il part aussi à la recherche de l'étrange secret que son grand-père a caché
à sa famille jusqu'à sa mort… Tous les faits relatés dans ce livre sont authentiques.
L'auteur : petit fils de « La Polonaise », Alain Michalak rapporte pour la première
fois, les propos tenus par sa grand-mère à Kleist. Il les tient de sa propre mère
qui, elle aussi, a vécu ces événements. Preuves et témoignages inédits à l'appui,
il détaille les coups de bluff de son aïeule pour sauver les habitant de Saillat et
les résistants. Le plus stupéfiant et le plus risqué étant celui qui a sauvé la vie
du directeur de la papèterie… [source éditeur]