Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Strickler, Albert (1955-2023)
Titre(s) : Autoportrait à l'horloge comtoise [Texte imprimé] : journal 2015 / Albert Strickler
Publication : [La Vancelle] : Éditions du Tourneciel, DL 2016
Impression : 22-Saint-Brieuc : Printachats
Description matérielle : 1 vol. (327 p.) ; 21 cm
Collection : Collection Le Chant du merle
Lien à la collection : Collection Le Chant du merle
Sujet(s) : Strickler, Albert (1955-2023)
Genre ou forme : Journaux intimes
Indice(s) Dewey :
848.920 3 (23e éd.) = Écrits divers de langue française - 2000-.... Carnets, journaux intimes, mémoires,
souvenirs [oeuvre]
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 979-10-95248-05-7 (br.) : 20 EUR
EAN 9791095248057
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb450534799
Notice n° :
FRBNF45053479
Résumé : « Sans partage, le Temps s'est imposé d'emblée comme le personnage principal de ce
début d'année et donc des premières pages de ce Journal. Tiendra-t-il la distance
? Aspire-t-il à durer ? » (3 janvier 2015) Il n'a pas seulement tenu la distance.
Il l'a brûlée au galop avant d'enjamber allègrement la frontière de l'An nouveau pour
se précipiter à sa propre rencontre au gré de la suite de ses effondrements de domino
! Et l'horloge comtoise, aussi lourde qu'elle soit, n'a pas été une cavalière moins
virevoltante que la girouette de Vézelay qui avait donné sa folle mesure au volume
du Journal précédent. En un mot, Albert Strickler semble étreindre le Temps toujours
plus fort, allant jusqu'à le presser comme de grands tubes de gouache dont il étale
les mille et une couleurs sur la palette des jours qui passent… « Sans partage, le
Temps s'est imposé d'emblée comme le personnage principal de ce début d'année et donc
des premières pages de ce Journal. Tiendra-t-il la distance ? Aspire-t-il à durer
? » (3 janvier 2015) Il n'a pas seulement tenu la distance. Il l'a brûlée au galop
avant d'enjamber allègrement la frontière de l'An nouveau pour se précipiter à sa
propre rencontre au gré de la suite de ses effondrements de domino ! Et l'horloge
comtoise, aussi lourde qu'elle soit, n'a pas été une cavalière moins virevoltante
que la girouette de Vézelay qui avait donné sa folle mesure au volume du Journal précédent.
En un mot, Albert Strickler semble étreindre le Temps toujours plus fort, allant jusqu'à
le presser comme de grands tubes de gouache dont il étale les mille et une couleurs
sur la palette des jours qui passent… [source éditeur]