Notice bibliographique

  • Notice
  • vignette
  • vignette
vignette large

Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation

Auteur(s) : Catonné, Jean-Marie (1941-....)  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : Amédée Dunois [Texte imprimé] : de Clamecy à Bergen-Belsen / Jean-Marie Catonné

Publication : Nancy : Éditions Arbre bleu, 2016

Impression : 58-Clamecy : Impr. Laballery

Description matérielle : 1 vol. (303 p.-[8]) : ill. ; 22 cm

Collection : Figures militantes, ISSN 2264-0665

Lien à la collection : "Figures militantes" 


Note(s) : Bibliogr. p. 288-290. Index


Sujet(s) : Dunois, Amédée (1878-1945)  Voir les notices liées en tant que sujet

Genre ou forme : Biographie  Voir les notices liées en tant que genre ou forme

Indice(s) Dewey :  324.244 07092 (23e éd.) = Partis de gauche - France - Biographie  Voir les notices liées en tant que sujet


Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 979-10-90129-16-0 (br.) : 25 EUR
EAN 9791090129160

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb45015604m

Notice n° :  FRBNF45015604


Résumé : De L'Humanité de Jaurès au Populaire de Léon Blum, la vie d'Amédée Dunois (1878-1945) est indissociable de l'idéal socialiste pour lequel il sacrifia sa vie en entrant en résistance dès juillet 1940. La retracer, c'est parcourir cinquante années de l'histoire du socialisme, retrouver les grandes heures et les fractures d'un parti plus que centenaire, le plus vieux aujourd'hui à exercer encore le pouvoir. De son passé anarchiste jusqu'au congrès d'Amsterdam où il rompt avec les illusions de sa jeunesse, du syndicalisme révolutionnaire à son adhésion à la SFIO, de l'assassinat de Jean Jaurès, attablé à ses côtés, à son refus de l'Union sacrée, il est peu d'événements touchant le socialisme, dont il fut un des penseurs, auxquels il n'ait été mêlé. Rédacteur en chef de L'Humanité au moment du congrès de Tours, il joue un rôle déterminant dans la conversion de la majorité socialiste au communisme. Délégué du PCF à Moscou après la mort de Lénine, il est confronté à la lutte qui oppose Trotski, qu'il a connu à Paris, à la troïka Zinoviev-Kamenev-Staline. Il reviendra désabusé de Russie, sans être exclu ni démissionner, faisant le choix de l'opposition interne. Les années 1930 le voient revenir à la « vieille maison » et devenir une des grandes plumes du Populaire. Dénonçant les accords de Munich comme une capitulation et le pacifisme défaitiste d'une majorité de socialistes qui s'apprêtent à voter les pleins pouvoirs à Pétain, il est à l'origine du Comité d'action socialiste clandestin et de la poignée de socialistes résistants qui, dans la foulée du Conseil national de la Résistance, reconstruisent le parti. Un destin auquel il manquait peu de choses qu'Amédée Dunois revienne de déportation pour échapper à l'oubli dont il est aujourd'hui victime. [source éditeur]


Localiser ce document(1 Exemplaire)

Tolbiac - Rez-de-jardin - magasin

1 partie d'exemplaire regroupée