Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Peyrelevade, Jean (1939-....)
Titre(s) : Journal d'un sauvetage [Texte imprimé] / Jean Peyrelevade
Publication : Paris : Albin Michel, DL 2016
Impression : 18-Saint-Amand-Montrond : Impr. CPI Bussière
Description matérielle : 1 vol. (445 p.) ; 23 cm
Sujet(s) : Banques -- Pratiques déloyales -- France -- 1990-2020
Crédit lyonnais (France) -- Réorganisation
Crédit lyonnais (France) -- Gestion -- 1990-2020
Genre ou forme : Récits personnels
Indice(s) Dewey :
332.109 44 (23e éd.) = Banques - France
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-226-32481-8 (br.) : 21,50 EUR
EAN 9782226324818
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45009202k
Notice n° :
FRBNF45009202
Résumé : Cet extraordinaire document qui retrace, d'une plume souvent féroce, le sauvetage
du Crédit Lyonnais est l'histoire d'une double trahison de l'État.D'abord la trahison
inspirée par un système où irresponsabilités et incompétences ne sont jamais sanctionnées,
un système incapable de contrôler le pouvoir qu'il a lui-même installé, un système
où on a laissé pendant cinq ans une banque de taille mondiale dériver jusqu'aux frontières
de la faillite.Des prêts hasardeux aux investissements des requins d'Hollywood, l'entreprise
a connu les plus folles dérives sous le règne d'inspecteurs des Finances protégés
par le sérail.Mais ce que raconte l'auteur, c'est aussi la trahison d'une caste, celle
de Bercy. On y découvre une nomenklatura pénétrée de certitudes et persuadée d'incarner
l'intérêt général… Une fois que le scandale a éclaté, un petit groupe de dirigeants
politiques et de hauts fonctionnaires va s'efforcer de faire disparaître, malgré le
redressement accompli, les traces de ce qui restera le plus grand désastre financier
des trente dernières années et qui constitue une tâche sur leur réputation.Ce témoignage
explosif décrit, à travers de nombreux portraits et anecdotes, dix ans de lutte acharnée
menée pour sauver une grande maison que tout le monde, des ministres français aux
commissaires européens en passant par les banques de la place, condamnait. [source
éditeur]