Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Image fixe : sans médiation

Titre(s) : Une partie Russe [Image fixe] : [estampe]

Publication : A Paris chez Martinet, Libraire, rue du Coq N° 15

Description matérielle : 1 est. : gravure à l'eau-forte, coloriée ; 21,1 x 29,1 cm

Note(s) : Sous le tr. c., à dr.. - La coll. Hennin (CXLIX, 63) en contient une épr. partiellement coloriée. - Après Austerlitz, l'empereur de Russie était rentré à Saint-Pétersbourg, mais il ne s'avouait pas vaincu. Il avisait au contraire aux moyens de poursuivre la guerre. Sous l'influence de la reine Louise (la légende placée dans sa bouche fait allusion à ses relations avec elle), il fit alliance avec la Prusse (12 juillet). Puis il refusa de ratifier le traité que son envoyé, d'Oubril, venait de signer à Paris (15 août). C'est alors que l'enthousiasme belliqueux se déchaîna à Berlin (on sait que la belle reine de Prusse était à la tête du parti militaire). La guerre fut déclarée, peut-être contre le gré du roi Frédéric-Guillaume, qui devait payer le 14 oct. à Iéna les frais de cette «partie russe»
Napoléon, jouant au billard avec le roi de Prusse, l'empereur de Russie et le prince de Hesse-Cassel (De Vinck n° 8252), gagne la partie. Le roi d'Angleterre marque les coups et désigne le roi de Prusse à l'aubergiste, inquiet de savoir qui paiera les frais

Référence(s) : De Vinck, 8223

Sujet(s) : Bataille de Iéna (1806)  Voir les notices liées en tant que sujet

Conservé dans : [Recueil. Collection de Vinck. Un siècle d'histoire de France par l'estampe, 1770-1870. Vol. 62 (pièces 8203-8353), Directoire, Consulat et Empire]  Voir toutes les notices liées

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb41514430p

Notice n° :  FRBNF41514430

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