Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Strausz, Rosa Amanda
Titre(s) : Un garçon comme moi [Texte imprimé] / Rosa Amanda Strausz ; traduit du portugais (Brésil) par Anne-Marie Rumeau
Traduction de : Uólace e João Victor
Publication : Paris : Seuil : Métailié, DL 2005
Impression : 61-Lonrai : Normandie roto impr.
Description matérielle : 1 vol. (76 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm
Autre(s) auteur(s) : Rumeau, Anne-Marie. Traducteur
Indice(s) Dewey :
811.5 (23e éd.) =
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 2-02-084471-0 (br.) : 8 EUR
EAN 9782020644710
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb400713616
Notice n° :
FRBNF40071361
Cette notice appartient à l'univers jeunesse
Résumé : Deux enfants de 12 ans, originaires de milieux sociaux différents, vivent des situations
et des frustrations semblables, les interprètent différemment, se croisent avant de
prendre conscience qu'ils partagent la même solitude. Permet au lecteur de vivre deux
fois la même situation mais avec des points de vue différents. [source Electre]
Infos du Centre national de la littérature pour la jeunesse :
Genre :
Public destinataire :
Avis critique : Intéressant
Notice critique : Uolace, cela s'écrit Wallace, mais tout le monde
dit Uo, vit dans une favella, à la rue, et tente de survivre dans des conditions de
vie terrifiantes. Jean-Victor a bien plus de chance, sa mère à lui a du travail et
veille à ce qu'il aille à l'école et qu'il en ramène de bonnes notes. En de courts
chapitres alternés, le récit à deux voix des deux garçons dresse un tableau dur mais
authentique des enfances au Brésil. Et si, malgré tout ce qui les sépare, il y avait
quelque chose qui les rapprochait ? Beaucoup de délicatesse malgré un propos très
sombre et une fin ouverteà - Le 20051026
, par Nic Diament (publié dans La Revue des livres pour enfants)
Genre : Romans
Public destinataire : À partir de 11 ans
Avis critique :
Notice critique : Uolace vit dans une favella, à la rue, et tente
de survivre dans des conditions terrifiantes. Jean-Victor a bien plus de chance, sa
mère a du travail et veille sur lui et sur sa réussite scolaire. En de courts chapitres
alternés, le récit à deux voix des deux garçons dresse un tableau dur mais authentique
des enfances au Brésil. Et si, malgré tout ce qui les sépare, il y avait quelque chose
qui les rapprochait ? Beaucoup de délicatesse malgré un propos très sombre et une
fin ouverte... - Le 20070111
(publié dans La Revue des livres pour enfants. Sélection annuelle)