Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation
Titre conventionnel : [Exposition. Paris, Institut des cultures d'islam. 2021/2022]
Titre(s) : Hossein Valamanesh, Puisque tout passe [Texte imprimé] : [exposition, Paris, Institut des cultures d'islam, 23 septembre 2021-13 février 2022]
Publication : [Paris] : Institut des cultures d'islam, DL 2021
Impression : 81-Graulhet : Impr. Escourbiac
Description matérielle : 1 vol. (128 p.) : ill. en coul. ; 24 cm
Note(s) : Contient des textes traduits du français et de l'anglais. - Contient un entretien
avec Hossein Valamanesh par Bérénice Saliou
Autre(s) auteur(s) : Institut des cultures d'islam (Paris)
Sujet(s) : Valamanesh, Hossein (1949-....)
Genre ou forme : Catalogues d'exposition
Indice(s) Dewey :
709.2 (23e éd.) = Beaux-arts et arts décoratifs - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-9567045-4-6 (rel.) : 24 EUR
EAN 9782956704546
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb471939689
Notice n° :
FRBNF47193968
Résumé : Puisque tout passe est la première exposition en Europe d'Hossein Valamanesh. Depuis
plus de 40 ans, cet artiste australien d'origine iranienne explore à travers une grande
diversité de médiums les thèmes de l'amour, de la nature et de la spiritualité, formant
une œuvre intime et universelle d'une cohérence totale inspirée à la fois par ses
racines et sa terre d'adoption. Une sélection d'œuvres des années 1980 à nos jours
propose de découvrir sa démarche imprégnée par les écrits de Djalâl ad-Dîn Rûmî, poète
mystique persan du 13e siècle ayant profondément influencé le soufisme. Mêlant l'humour
surréaliste et la sobriété de l'arte povera, Hossein Valamanesh conjugue librement
de multiples références évoquant ses souvenirs d'enfance, son expérience de l'exil
ou encore le profond lien spirituel qu'entretiennent les Aborigènes avec leur environnement,
et les fait converger dans une prise de conscience de l'impermanence des choses et
des êtres, Puisque tout passe. Fidèle à la fluidité de cette pensée, l'exposition
navigue entre les époques et les inspirations, les œuvres pré-existantes et celles
conçues spécialement pour l'événement. Le visiteur plonge d'emblée dans un dispositif
in situ : des pans de tissu semi-transparent forment un dédale où se répète le mot
amour en farsi, tandis que se distingue au fond de l'espace un planisphère tenant
davantage du puzzle que de la cartographie. Après cette désorientation volontaire,
le parcours invite au recueillement méditatif : le mouvement giratoire d'un derviche
évanescent fait écho à celui de planètes / atomes, dans une ronde hypnotisante alliant
l'infiniment grand à l'infiniment petit. L'exposition prend ensuite une dimension
introspective, Hossein Valamanesh célébrant la figure maternelle entre photographies
d'époque et éléments naturels à peine transformés, entremêlant les contextes entre
l'Iran et l'Australie, où l'artiste émigre en 1973. La notion du double apparait dans
une ombre projetée, une chemise à deux cols, [source éditeur]