Notice bibliographique

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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation

Auteur(s) : Meusy, Jean-Jacques (1939-....)  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : Écrans français de l'entre-deux-guerres [Texte imprimé] / Jean-Jacques Meusy

Publication : Paris : AFRHC, Association française de recherche sur l'histoire du cinéma, DL 2017

Impression : 16-Ruelle-sur-Touvre : Impr. Renon

Description matérielle : 2 vol. (353, 258 p.) : ill. en coul. ; 27 cm

Collection : Histoire culturelle

Lien à la collection : Histoire culturelle (Paris) 


Comprend : I, L'apogée de l'art muet ; II, Les années sonores et parlantes

Note(s) : Index


Sujet(s) : Cinémas -- France -- 1900-1945  Voir les notices liées en tant que sujet
Cinémas -- France -- Gestion -- 1900-1945  Voir les notices liées en tant que sujet

Indice(s) Dewey :  791.430 94409 (23e éd.) = Cinéma - France - Histoire  Voir les notices liées en tant que sujet


Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-37029-018-2 (br. sous étui) : 65 EUR
EAN 9782370290182

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb452786983

Notice n° :  FRBNF45278698


Résumé : L'irruption en France du cinéma sonore dans une profession peu préparée, amena un véritable séisme. Léon Gaumont et Charles Pathé disparaissaient de la scène et laissaient la place à des concentrations industrielles et commerciales d'ampleur inconnue auparavant. Après le quasi-échec des mesures de contingentement, industriels et financiers misaient sur la barrière de la langue pour protéger le cinéma français de l'ogre américain et lui permettre une véritable renaissance, malgré les craintes suscitées par le film parlant chez certains intellectuels et artistes. L'exploitation dut faire de gros efforts pour rénover un parc de salles vieilli et surtout inadapté au cinéma sonore. Il fallut reconsidérer l'architecture intérieure des salles, rénover les anciennes et en construire de nouvelles. A Paris, le nombre de cinémas augmenta de près de 81% entre 1929 et la guerre. Des architectes de talent, dont certains influencés par les courants modernistes, profitèrent de ce nouvel élan en se spécialisant dans ce type de construction. Sur fond de crise du capitalisme et de vifs antagonismes politiques, le cinéma devenait le loisir numéro 1 des Français et son pouvoir médiatique, surtout depuis qu'il avait appris à parler, renforça l'intérêt que lui portaient les grandes familles de pensée. Qu'il s'agisse de films de la gauche, de l'Eglise, des Ligues d'extrême droite ou des films de propagande coloniale, le cinéma des années 1930 participa aux débats citoyens. Outre les meetings et les salles improvisées, les cinémas en furent les principaux témoins. Malgré le développement du doublage qui rouvrit largement le marché français aux films étrangers, malgré les fort nombreuses faillites du milieu des années 1930, le cinéma français ne retomba pas dans sa léthargie. Il trouva sa voie dans une certaine forme de réalisme poétique et fut souvent porté davantage vers le destin pittoresque d'êtres marginaux et solitaires que vers la classe ouvrière elle-même. [source éditeur]


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Tolbiac - Rez-de-jardin - magasin

2 parties d'exemplaires regroupées

2017-128509 ...
Tolbiac - Rez-de-jardin - magasin

partie exemplaire N° 1
2017-128509 < Vol. 1  > 
support : livre
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Tolbiac - Rez-de-jardin - magasin

partie exemplaire N° 2
2017-167004 < Vol. 2  > 
support : livre
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