Notice de périodique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : électronique
Titre clé :
Les Temps qui restent
Titre(s) : Les Temps qui restent [Texte électronique] / [responsable éditorial Patrice Maniglier]
Numérotation : N° 1 (printemps (avril-juin) 2024)-
Notice rédigée d'après : N° 1 (printemps 2024). - URL : https://web.archive.org/web/20240504100515/http://lestempsquirestent.org/fr/numeros.
- Consulté le 2024-05-14
Publication : Paris (40 av. Simon Bolivar ; 75019) : Association Pour les temps qui restent, 2024-
Note(s) : Sélection d'articles bilingues français-anglais
Le n° 1 est également daté avril-juin 2024
Description matérielle : 1 ressource dématérialisée
Périodicité : Trimestriel (avec mise en ligne des articles en continu)
Autre(s) auteur(s) : Maniglier, Patrice. Fondateur de la publication
Simont, Juliette. Fondateur de la publication
Pour les temps qui restent. Éditeur scientifique
Autre(s) forme(s) du titre :
- Autre forme du titre : TQR
Titre(s) en liaison :
- Titre en liaison : Les Temps modernes (En ligne) = ISSN 2272-9356
Indice(s) Dewey :
001.307 2 (23e éd.) = Humanités - Recherche ; 300.5 (23e éd.) = Sciences sociales - Publications en série
Identifiants, prix et caractéristiques : ISSN 3038-0464 = Les Temps qui restent
Titre clé abrégé : Titre-clé abrégé : Temps qui restent
cf.https://portal.issn.org/resource/ISSN/3038-0464
URL : https://lestempsquirestent.org/fr - Format(s) de diffusion : HTML. - Accès libre et
intégral. - Consulté le 2024-05-14
URL (capture dans Internet Archive) : https://web.archive.org/web/*/https://lestempsquirestent.org/fr
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47472300w
Notice n° :
FRBNF47472300
Commentaires : Les Temps qui restent a été constitué en 2024 à l'initiative de l'ancien comité de
rédaction de la revue Les Temps Modernes, sous l'impulsion de Patrice Maniglier et
Juliette Simont, après la décision prise par Gallimard, propriétaire du titre, d'y
mettre un terme. Il repose sur la conviction que le projet inaugural de la revue fondée
par Sartre, loin d'être périmé par la situation présente, y est au contraire devenu
d'autant plus pertinent – à condition d'être profondément transformé. Il s'agissait,
pour la revue historique, de prendre acte, après la Deuxième Guerre Mondiale, de l'impossibilité
de s'isoler du contexte global dans quelque tour d'ivoire que ce soit et de la nécessité
d'y voir plus clair sur nos manières collectives et individuelles d'être prises dans
un mouvement de totalisation qui les dépassait, mais aussi les compromettait. Aujourd'hui,
dans le contexte des bouleversements des systèmes biogéochimiques à l'échelle planétaire
sous l'effet d'activités humaines, et précisément d'activités qui se voulaient de
« modernisation », ce diagnostic et cette exigence s'avèrent d'autant plus pertinents.
Les Temps qui restent se propose d'être ce lieu où la notion sartrienne d'engagement
se redéfinit à l'âge de « l'Anthropocène », c'est-à-dire dans le contexte de la planétarisation
de nos modes d'existence, à la fois en continuité et en rupture avec l'histoire des
Temps Modernes. La revue est constituée de numéros trimestriels, mais les contributions
sont mises en ligne en flux continu, et certaines sont des séries et des chroniques
régulières ayant leur propre périodicité [source éditeur]
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