Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Dumas, Alexandre (1802-1870)
Titre(s) : Le spéronare [Texte imprimé] : la Sicile, impressions de voyage / Alexandre Dumas ; illustrations de M. C. Escher ; préface de Jocelyn Fiorina
Publication : Paris : Éditions Desjonquères, DL 2024
Impression : 58-Clamecy : Impr. Laballery
Description matérielle : 1 vol. (470 p.) : ill. ; 23 cm
Collection : Les chemins de l'Italie
Lien à la collection : Les Chemins de l'Italie
Note(s) : Initialement publié dans le tome 9 des "Oeuvres complètes" en 1854. - Index
Autre(s) auteur(s) : Escher, Maurits Cornelis (1898-1972). Illustrateur
Fiorina, Jocelyn (1976-....). Préfacier
Sujet(s) : Sicile (Italie)
Genre ou forme : Récits de voyages -- 19e siècle
Indice(s) Dewey :
914.580 483 (23e éd.) = Géographie - Italie - Sicile et îles adjacentes - Voyages - 1814-1861
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-494500-24-2 (br.) : 24,50 EUR
EAN 9782494500242
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47597574s
Notice n° :
FRBNF47597574
Résumé : Dans ce récit plein de vie et d'humour du périple de Dumas en Sicile, second volet
de la trilogie de voyage dans l'Italie méridionale, l'auteur nous embarque à ses côtés,
comme un compagnon d'aventure. Avec sa générosité prolifique, il nous offre mille
curiosités : anecdotes, descriptions des lieux, récits historiques, mais aussi péripéties
romanesques récoltées au gré de ses étapes, mêlant brigands, trésors, passages secrets,
histoires d'amour… « Voyageurs qui voyagez en Sicile, au nom du ciel, prenez un speronare…
Avec un speronare, vous mangerez toutes les fois que vous n'aurez pas le mal de mer
; dans les auberges vous ne mangerez jamais. Et que l'on prenne ceci à la lettre :
en Sicile, on ne mange que ce qu'on y porte ; en Sicile ce ne sont point les aubergistes
qui nourrissent les voyageurs, ce sont les voyageurs qui nourrissent les aubergistes…
» Insolent, malicieux, parfois moqueur et toujours drôle, Dumas nous décrit, avec
sa verve coutumière, la Sicile qu'il aborde par la mer sur le speronare. Le miroir
promené par l'auteur étincelle. Nous retrouvons ici, comme dans Le Corricolo, la fulgurance
d'une intelligence qui fuse à chaque page, cette richesse d'observation qui fait de
ce livre un voyage en lui-même. Édition illustrée de 14 gravures et lithographies
de M. C. Escher. Préface de Jocelyn Fiorina [source éditeur]