Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Titre(s) : Les violences sexistes après #MeToo [Texte imprimé] / [sous la direction de] Catherine Cavalin, Jaércio Da Silva, Pauline Delage... [et al.]
Publication : Paris : Presses des Mines-Transvalor, DL 2022
Impression : 95-Domont : Dupliprint
Description matérielle : 1 vol. (246 p.) ; 24 cm
Collection : Collection Sciences sociales
Lien à la collection : Collection Sciences sociales (Paris)
Note(s) : Issu en partie des journées d'études successives organisées conjointement par VisaGe
et CARISM au cours de l'année 2020. - Bibliogr. p. 215-239
Autre(s) auteur(s) : Centre d'analyse et de recherche interdisciplinaires sur les médias (Paris). Éditeur scientifique
Réseau Violences fondées sur le genre (France). Éditeur scientifique
Sujet(s) : Mouvements de lutte contre les violences sexistes et sexuelles -- Aspect social -- 2000-....
Sexisme -- Lutte contre -- 2000-....
Genre ou forme : Actes de congrès
Indice(s) Dewey :
305.420 905 (23e éd.) = Femmes - Rôle social et statut social - 2000-2099
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-35671-837-2 (br.) : 29 EUR
EAN 9782356718372
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb471286985
Notice n° :
FRBNF47128698
Résumé : À partir d'octobre 2017, #MeToo devient un phénomène mondial, en diffusant internationalement
le slogan que Tarana Burke, militante new-yorkaise contre les violences sexuelles
avait lancé dix ans plus tôt. Une multitude de victimes témoignent sur divers supports
numériques et médiatiques, reformulant et intensifiant des luttes féministes en cours
contre les violences sexistes. À l'initiative d'une nouvelle génération de chercheuses
et chercheurs francophones sur les violences de genre, ce premier ouvrage académique
en France sur #MeToo cherche à comprendre l'événement. Il propose une approche empirique
de ce mouvement mondial. Il décrypte d'abord l'événement #MeToo dans sa matérialité,
ses contextes de réception et d'appropriation et s'efforce de montrer comment l'usage
des réseaux socionumériques permet d'articuler de nouvelles formes de militantisme
ou de renforcer des pratiques militantes existantes en ligne et hors ligne. Il inscrit
ensuite #MeToo dans une histoire des luttes féministes de plus long terme et s'efforce
de questionner son unité à travers l'étude de ses résonances contrastées dans différents
milieux professionnels. [source éditeur]