Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Chapsal, Madeleine (1925-....)
Titre(s) : Envoyez la petite musique [Texte imprimé] / Madeleine Chapsal
Publication : Paris : Bernard Grasset, DL 2022
Impression : 18-Saint-Amand-Montrond : Impr. CPI Bussière
Description matérielle : 1 vol. (438 p.) ; 19 cm
Collection : Les cahiers rouges, ISSN 0756-7170
Lien à la collection : Les Cahiers rouges (Paris. 1983)
Note(s) : Entretiens publiés dans "L'Express"
Genre ou forme : Entretiens
Indice(s) Dewey :
800.2 (23e éd.) = Littérature - Ouvrages divers
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-246-83176-1 (br.) : 13,90 EUR
EAN 9782246831761
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb47119955r
Notice n° :
FRBNF47119955
Résumé : Envoyez la petite musique a été publié pour la première fois en 1984 chez Grasset.
De 1953 à 1979, Madeleine Chapsal a interviewé les plus grands auteurs : Georges
Bataille, Simone de Beauvoir, Jorge Luis Borges, André Breton, Jean Giono, Jacques
Lacan, Jacques Prévert ou encore Tristan Tzara. En plus de recueillir des propos passionnants
sur la littérature, la création ou la politique, ce livre est aussi et surtout une
série de portraits admirables. Madeleine Chapsal ne se contente pas de retranscrire
les réponses de ses interlocuteurs, elle décrit les lieux, les comportements, les
gestes, les mots d'esprit, les manies. S'il y a des rencontres lumineuses, certaines
sont sombres et déplaisantes. Elle rend visite à Céline, quatre ans avant sa mort,
dans sa maison de Meudon : l'homme est odieux, revanchard, aigre. Heureusement, on
trouve quantité d'anecdotes savoureuses, parfois d'une humanité désarmante. En 1959,
elle a rendez-vous chez Jean-Paul Sartre, rue Bonaparte. Ça n'est pas le philosophe
qui lui ouvre la porte, mais sa mère ! A l'occasion d'une rencontre avec Françoise
Sagan, elle complimente l'écrivain sur son pull : l'auteur de Bonjour tristesse,
avec une spontanéité immédiate, lui en offre un de sa propre garde-robe. Les écrivains
sont aussi des êtres humains. [source éditeur]