Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Pavić, Milorad (1929-2009)
Titre(s) : Exemplaire unique [Texte imprimé] : roman aux cent fins / Milorad Pavić ; traduit du serbe par Maria Béjanovska
Traduction de : Unikat : plava sveska
Publication : [Broye] : Monts Métallifères éditions, DL 2021
Impression : 58-Clamecy : Impr. Laballery
Description matérielle : 1 vol. (150 p.) : ill. ; 20 cm + 1 étui
Note(s) : Contient aussi sous étui : "Le cahier bleu : catalogue des cent fins" constitué d'un livret et de 100 fiches
Autre(s) auteur(s) : Bežanovska, Marija (1942-....). Traducteur
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-9577054-1-2 (br. sous étui) : 27 EUR
EAN 9782957705412
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb46958483f
Notice n° :
FRBNF46958483
Résumé : Milorad Pavic (1929-2009), était un professeur, poète, et romancier serbe, qui a construit un univers fictionnel très singulier mêlant mythologie, histoire, ésotérisme et jeux formels. Défenseur de ce qu'il appelle la «littérature non linéaire», il est l'auteur du célèbre Dictionnaire Khazar, qu'on lit en passant d'une entrée de dictionnaire à une autre, mais il a également écrit un roman construit autour d'une grille de mots croisés, ou un autre qu'on se «tire» comme un tarot de Marseille. Exemplaire unique est un autre tour de force de cet inlassable inventeur de formes. Dans ce coffret, vous trouverez un roman, le même pour tout le monde, et ses cent «fins» imprimées sur des feuillets séparés. Libre à vous de n'en lire qu'une seule, ou toutes, ou une partie seulement; dans l'ordre, comme on compterait les lévriers au départ d'une course; dans l'ordre inverse, comme on compterait les jours qui nous séparent de notre dernier vrai baiser; ou dans le désordre, comme on compterait les étoiles d'une nuit sans lune. Si vous êtes joueur, vous pouvez couper ces fins comme un jeu de cartes, et lire seulement celle du dessus; ou les jeter en l'air, et ne lire que celles qui retombent face contre terre; ou encore y mettre le feu, et lire la dernière à brûler. Mais n'oubliez pas: on ne choisit pas plus sa mort ou ses rêves qu'on ne choisit sa fin de ce roman. Quoi que vous fassiez, c'est votre fin qui vous choisit, non l'inverse. [source éditeur]