Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Tereso, Gabriel
Titre(s) : L'élimination des pauvres [Texte imprimé] / Gabriel Tereso ; [préface de Mgr Jacques Suaudeau]
Publication : Alençon : les Éditions du Bien commun, DL 2021
Impression : 53-Bonchamp-lès-Laval : Impr. Téqui
Description matérielle : 1 vol. (209 p.) ; 21 cm
Note(s) : Sur la page de couv. les mots du titre "de la pauvreté" sont barrés. - En appendice, choix de documents. - Bibliogr. p. 203
Autre(s) forme(s) du titre :
- Titre de couverture : L'élimination de la pauvreté
Sujet(s) : Néo-malthusianisme -- Pays les moins avancés -- 1990-2020
Régulation des naissances -- Pays les moins avancés -- 1990-2020
Santé de la reproduction -- Pratiques déloyales -- 1990-2020
Indice(s) Dewey : 363.92 (23e éd.) = Démographie qualitative
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-85554-161-7 (br.) : 17 EUR
EAN 9782855541617
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb46946691x
Notice n° :
FRBNF46946691
Résumé : Par ses fonctions sur le terrain, en Afrique notamment, Gabriel Tereso a découvert progressivement comment, sous couvert d'aide publique au développement et de « politique de santé reproductive », certains Occidentaux visent en fait une limitation de la croissance démographique et la déconstruction du modèle familial dans les pays pauvres ou émergents, parfois à l'insu de leurs populations. Éliminer les pauvres plutôt que la pauvreté, voilà leur objectif. Les moyens : la manipulation des opinions publiques, les programmes officiels (échanges « nourriture contre contraception », campagnes de stérilisation...), mais aussi l'ajout secret d'antigènes hCG dans les vaccins antitétaniques. L'auteur détaille ces politiques, davantage connues depuis la première conférence de Pékin en 1995. Enfin, il montre comment elles se rattachent à la pensée eugéniste du XIXe siècle : une vision malthusienne promue aujourd'hui encore par de grandes fondations privées « philanthropiques ». Adossées à de puissants groupes financiers et industriels, celles-ci financent les ONG et les grandes institutions internationales (ONU, FMI, OMS...), s'appropriant ainsi la gouvernance mondiale des politiques d'aide au développement, au mépris de la démocratie et du bien commun. [source éditeur]