Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Villiers, Philippe de (1949-....)
Titre(s) : J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu [Texte imprimé] / Philippe de Villiers
Publication : Paris : Fayard, DL 2019
Impression : 72-La Flèche : Impr. CPI Brodard et Taupin
Description matérielle : 1 vol. (414 p.) ; 24 cm
Note(s) : En appendice, choix de documents. - Bibliogr. p. 405-414
Sujet(s) : Monnet, Jean (1888-1979) -- Et l'Union européenne
Politique et gouvernement -- Pays de l'Union européenne -- Histoire -- Influence étrangère
Europe -- Unité
Indice(s) Dewey :
341.242 209 (23e éd.) = Union européenne - Histoire
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-213-71228-4 (br.) : 23 EUR
EAN 9782213712284
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45683935q
Notice n° :
FRBNF45683935
Résumé : À la fin d'une conversation qui roulait sur la « construction européenne », l'ancien
ministre des Affaires étrangères du général De Gaulle, qui savait tout sur tout le
monde, laissa tomber d'un air entendu : « Philippe, il vous suffira de tirer sur le
fil du Mensonge et tout viendra… »Des décennies plus tard, en y consacrant un temps
discret et beaucoup d'ardeur, bénéficiant par ailleurs de complicités au plus haut
niveau des arcanes de l'Europe, Philippe de Villiers décide de tirer sur le fil.Alors
tout est venu.Il a mené ses recherches jusqu'au bout du monde, à Stanford, à Berlin,
à Moscou et partout où pouvaient se trouver des documents confidentiels récemment
déclassifiés. Et les archives ont parlé. Elles ont livré des secrets dérangeants.L'envers
de l'Europe est apparu. Ce n'est pas du tout ce qu'on nous avait dit.De ce travail
d'enquête, Philippe de Villiers a fait un livre de révélations sur le grand Mensonge.
Il a résolu de publier les preuves. Elles sont accablantes. Tout y passe : les Mémoires
apocryphes, les dollars, la CIA, les agents, le passé qu'on efface, les allégeances
qu'on dissimule, les hautes trahisons.Le récit est parfois glaçant. Mené au rythme
d'une enquête haletante, il se lit comme un polar. On n'en ressort pas indemne. C'est
la fin d'un mythe : ils travaillaient pour d'autres et savaient ce qu'ils faisaient,
ils voulaient une Europe sans corps, sans tête et sans racines. Elle est sous nos
yeux. [source éditeur]